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 Melissa Zwölle

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Melissa Zwölle

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Melissa Zwölle
Mi wanna stamina daddy. Or naa ?
Messages : 87



Melissa Zwölle Vide
MessageSujet: Melissa Zwölle   Melissa Zwölle EmptyMer 5 Mai - 19:54

    Nom : Zwölle
    Prénom : Melissa dit Cherry pour les clients.
    Âge : 23 ans, deux ans d'expérience

    Métier : Prostituée ou officiellement secrétaire
    Lieu de vie : [ Raimyo ]
    Lieu de travail : [ Arkmeen et Flinzam ]
    Loge : [ Pooja ]

    WASH MY SOUL


    « Contradictive »
    “She'll mix emotion. She's an ocean. She's still alive.”
    Qui suis-je ? Qui ne s'est jamais posé cette question ? J'évite de trop y penser. Quand je me regarde dans le miroir, mon reflet me rappelle ma réalité. Mon job. Ma vie. Ce cercle vicieux qui m'étouffe. Je suis réaliste, je me suis foutue dans une belle merde toute seule. Un manque de méfiance et petit à petit, je me suis retrouvée prisonnière. Je ne suis pas une maîtresse. Je ne suis pas leur maîtresse. Je suis mieux que ça. Ils n'ont pas besoin de m'appeler pour me dire des mots doux. Je ne les harcèle pas pour leur demander quand ils veulent quitter leur femme. Je n'attends rien d'eux. Leurs maris, je leur laisse. Ils me murmurent des choses que leur épouse ne saura jamais. Ils me disent tout parce qu'ils savent que je ne dirais rien. Mais des fois, ils ne se rendent même pas compte. Ça m'amuse de les voir baisser leur garde. Je ne suis qu'une poupée avec des avantages. Je fais pas le plus vieux métier du monde par plaisir. Personne ne pourrait le faire. Peut-être les nymphomanes et encore. Il n'y a qu'une chose qui me force à continuer : l'argent. À chaque rendez-vous, je prends mon courage à deux mains pour ne pas fuir. Je suis fortement suicidaire. À chaque fois, j'aimerai partir, crier, me débattre. Ma conscience me chuchote qu'il n'y a pas d'espoir pour moi. Alors j'abandonne. Je laisse ses mains s'emparer de moi. Je leur mens. Combien de fois ai-je simulé pour quelques billets de plus ? Mais attention, j'ai des règles. Il ne faut pas croire qu'on peut faire ce qu'on veut avec moi. Pas de baisers. Obligation de se protéger. Après on peut s'arranger. Je suis tout ce qu'ils veulent que je sois. Malléable à souhait, pâte à modeler pour adulte seulement. Bonne élève, je m'applique et je fais tout ce que leur douce épouse ne leur fait plus. J'obéis aux moindres leurs désirs, je les dévance parfois. Prévenante ? D'une certaine façon. Mais ce n'est pas innocent. De mon cerveau à mes reins, tout est souillé. Mon corps est une marchandise. Mon cerveau est mon arme. Je suis vénale mais j'ai besoin de cet argent.

    Maman, elle est tellement fière de moi. Je lui mens. Je m'invente un rôle grâce auquel je justifie mes rentrées d'argent. Ses yeux me détaillent avec bonheur. Sa petite fille s'occupe d'elle. Je lui souris alors que j'ai envie de pleurer. Quand je suis seule, j'ai envie de vomir. Comme si quelque chose cherchait à sortir de mon corps. Ce mal qui me ronge. Cette angoisse. Ce que je suis, ressort. Dans ma cage, je tourne en rond et je les vois. J'entends les coups de téléphone. La même musique. Je voudrais tellement frapper à la porte de ma maman la supplier de me pardonner, l'entendre dire que tout va bien, qu'elle m'aime quand même. J'aimerai tellement. Mais je me cache. Je suis lâche. J'ai peur. Peur de l'image qu'elle aurait de moi. Sa fille qui vend son corps. Sa fille qui vend son âme pour avoir une vie décente. Je sais qu'elle ne m'a pas élevée comme ça. Je sais qu'elle se posera des questions. Qu'elle me demandera ce qu'elle a fait ou n'a pas fait. Alors je ne dis rien. Je fais comme si. Même si ça me coûte. Le plaisir, je ne sais plus ce que c'est. Le bonheur, il est bien trop loin pour que je puisse le toucher. J'aimerai retourner dans le ventre maternel. Redevenir un embryon. Revivre l'innocence. Mais tous les matins, je mets mes robes. Mes talons, mes armes de guerre, m'attendent. Je quitte l'appartement en ressemblant à une guerrière. Pourtant je ne suis qu'une enfant. Je voudrais tenir la main de ma mère. Mes jambes tremblent parfois. Une désagréable terreur m'habite. Je ne suis plus rien. Je marche vers mon point de rendez-vous. Je sais que des hommes m'attendent. Je sais ce qu'ils désirent. Ils connaissent les tarifs. Mais ce qu'ils ne savent pas, c'est que cet argent, je ne le dépense pas tellement. Je le mets sur un compte que j'ai ouvert au nom de Maman. Quand je serais morte, ce sera la fin. Elle n'aura plus rien. Elle ne sera pas plus fière de moi quand elle saura. Peut-être qu'elle refusera cet argent mais au moins, elle aura quelque chose. J'espère qu'elle me pardonnera. Que je resterais sa petite fille. Les autres, je m'en fous. Je ne vis pas pour les autres. Plus au stade où je suis. Je suis pourrie. Juste comme il faut, je pense. Parfois je rêve. D'une vie normale. Un boulot banal. Des collègues passe-partout.

    Je regrette. Je cherche la rédemption. J'en cherche la porte. Je hurle. Je pleure. Je saigne. Ce liquide invisible qui s'enfuit de mon corps, je n'arrive pas à la retenir. Chaque jour, j'en perds un peu plus. Je le sens. Mais Maman me fait sourire. Elle m'apaise. Elle me parle de ses amies, de leurs petits-enfants. Elle rêve du petit monsieur d'en face qui lui fait des grands sourires. Elle me dit que je devrais me trouver un petit ami et moi, je ris en disant que l'homme dont j'ai besoin n'existe pas. Elle me dit qu'il faut se méfier du destin. Je lui souris doucement. Je réalise que j'ai du mal à croire en eux. Les hommes. Que je ne pourrais jamais leur donner un quelconque crédit. Elle dit que je dois être fatiguée, qu'elle va me faire un bon repas. Elle disparaît. Je me sens bien mais la douleur me transperce à la sonnerie du téléphone. Je ne suis peut-être rien pour eux. Mais moi, je sais encore que je suis un humain.


    « Dépense pour moi, tu ne le regretteras pas... »
    J'ai tout ce qu'il faut là où il faut pour exercer mon métier. Pas de chirurgie, je peux me vanter que tout est naturel. Pas comme certaines de mes collègues qui sont une publicité ambulante pour leur chirurgien. Ma taille moyenne me force à avoir recours à des talons pour être à la même taille que mes clients. Ces accessoires accentuent d'ailleurs ma silhouette mince. A mon dernier rendez-vous médical, je mesurais 1m73 pour 54kg. J'avoue que je m'entretiens tout de même un peu. 15 minutes de sport par jour. Je ne suis pas pour les efforts violents une fois par semaine et puis mon travail me permet de garder la forme d'une certaine façon. D'après ce que je sais, ils me considérent comme un caramel. C'est vrai que ça correspond à ma couleur de peau que je tiens de ma mère -je suis heureuse de ne pas avoir hérité de son front haut-. Je dois avouer que ça m'aide à me démarquer de la concurrence. Le teint hâlé toute l'année sans passer par la case UV. Mon corps étant mon gagne-pain, je dois quand même en prendre soin. Ma peau doit être aussi douce que possible et sans aucune imperfection. La bataille contre les boutons est une guerre permanente. Après tout plus on est belle, plus ils nous veulent. Plus on est doué, plus ils dépensent. Décolleté pigeonnant, robe moulante, moins de tissu possible, tout est bon pour montrer qu'ils ne regretteront pas leur investissement. Poitrine avenante, jambes galbées, je sais que mes atouts doivent être une promesse.

    Ma crinière brune tombe souvent sur mes épaules dénudées, laissant quelques mèches se faufiler au creux de ma poitrine. Cependant sa longueur la fait descendre au creux de mes reins. De tels cheveux sont une vraie plaie à entretenir et parfois je pense à les couper. Cette idée s'envole immédiatement quand un client me dit les aimer. Mes mains subissent chaque semaine une manucure parfaite et c'est avec une grande délicatesse que je me tourne leur visage vers le mien. Mais ce n'est pas dans mes grands yeux gris qu'ils regardent. Ces derniers peuvent être ourlés de longs cils, ils s'en moquent. Tout comme la finesse de mes sourcils travaillés ne les intéressent pas. Il n'y a que le résultat qui compte et celui-ci doit être harmonieux. Je ne veux pas être vulgaire. Je veux être sophistiquée. Je ne porte rien de clinquant. Les strass, l'or, ce n'est pas pour moi. Mon maquillage est naturel pour me mettre en valeur sans tomber dans le déguisement. Je marche la tête droite, l'air assuré même si la peur me tient le ventre. Mais quand je n'ai plus besoin de me vendre, je troque mes talons aiguilles contre des tennis. Mes jupes se changent en pantalon ou en short. Il y a un détail qui peut être aussi idiot, je ne sors jamais sans casquette. Je ne veux pas qu'on me reconnaisse. Et si un client me voyait ? S'il parlait ? Cette possibilité me hante et la visière cache mon regard fuyant.

    PAST MISTAKE


    « Yeah we're free
    Yes we need to be free
    Walkin' round with unsatisfying »

    J'avais 21 ans quand j'ai signé pour l'Enfer. Mon année passée, j'ai rêvé d'un petit travail tranquille. J'étais de ces personnes qui avaient des résultats corrects. J'ai été à St Adrian's alors mes perspectives d'avenir se tenaient très loin d'Arkmeen. Pourtant j'ai cru que la chance me souriait. J'ai eu mon premier entretien dans une petite entreprise dans Dillen Town. De l'audit et du conseil. C'était trop compliqué pour moi, mais j'ai juste postulé juste pour être secrétaire. Le patron était gentil mais je n'ai pas aimé pas son regard. On aurait dit qu'il me dévorait. Ses petits yeux plissés fixaient ma jupe. Je me suis demandé qu'elle était le problème. C'est vrai qu'elle était un peu courte mais à mon âge, je pouvais bien, non ? Nous avons discuté. Il m'a demandé si j'avais de l'expérience dans le domaine. J'ai dit que oui, après tout, j'avais passé un an comme secrétaire chez un mécanicien. J'ai eu droit à un petit test. Deux heures après, je quittais l'endroit. Le lendemain matin, il m'a appelé pour me dire qu'il me prenait. Maman en pleurait de joie et moi, j'étais excitée. Je faisais mes premiers pas dans le monde des adultes. J'allais gagner mon premier salaire, maman n'aurait plus à faire des ménages. On pourrait enfin vivre et plus survivre. Ce soir-là, maman a fait mon gâteau préféré et je me suis couchée tôt. Je devais être en forme. Je suis arrivée en avance, angoissée d'être en retard pour signer le contrat. Si j'avais su que ce serait une laisse, j'aurai oublié ce rendez-vous.

    Je ne sais pas trop ce qui me motivait à l'époque. Depuis que mon père s'est barré, j'ai toujours connu la galère. J'ai même jamais connu mon père d'ailleurs. Maman était toute seule, on vivait dans un petit appartement miteux. Certains jours, je ne mangeais pas ou elle ne mangeait pas pour que je puisse prendre des forces. Mais je ne me plaignais jamais. Parfois maman pleurait en me disant qu'elle était désolée, qu'elle ne pouvait pas m'acheter de nouveaux vêtements, que je ne pouvais pas être comme les autres petites filles. Et puis un jour, grâce à un de ses employeurs, on a pu déménager dans un meilleur endroit. Maman travaillait à plein temps pour eux, alors la dame lui avait dit de venir vivre dans l'une de leurs dépendances. C'était la première fois que je dormais dans un lit et plus sur un matelas à même le sol. Au fond, c'est ça qui m'a poussé à signer. Je voulais dire adieu à cette vie. J'étais prête à tout pour ne plus manquer de rien. Je ne réalisais pas ce qui m'attendait mais une semaine plus tard, j'ai compris pleinement le type de secrétaire que mon patron voulait. Faire le café, s'occuper des rendez-vous, être sous ou sur le bureau. J'étais là pour le détendre. Quand sa main s'est posée pour la première fois sur mes fesses, j'ai poussé un petit cri. Je lui ai dit qu'il n'était pas drôle. Il m'a dit de ne pas faire la farouche. Que ce n'était sûrement pas une première pour moi. Ses doigts sont passés sous le tissu. J'ai eu peur. Il m'a soufflé que ça faisait parti de mon job. Que si je ne voulais pas, il ne me forcerait pas. Je serais virée tout simplement. J'ai eu peur. Ses doigts ont continué leur chemin. J'ai abandonné. J'ai changé de boite 5 mois plus tard mais j'ai compris que le droit de cuissage était ma seule carte à jouer.


    « L’erba e' gia' piu' verde
    Ma la vita e' piu' meschina
    Non e' colpa mia »

    C'est pas ma faute. C'est le système. J'aurai pu dire ça mais je suis la seule responsable. Durant 5 mois, j'ai gagné 2 fois plus qu'une secrétaire classique. J'avais des contacts. Alors j'ai craqué et j'ai pris un autre emploi. Maman avait eu peur que j'ai du mal à retrouver quelque chose. Pauvre maman. J'étais pas fière mais j'ai signé dans une agence très discrète fournissant des secrétaires toute option à ces messieurs. Les satisfaire. Satisfaire leurs clients. Leurs moindres désirs. Petit à petit, j'ai commencé à gagner beaucoup. Dans un premier temps, j'ai acheté un petit appartement à Raimyo. Je crois que c'était une façon de m'enraciner quelque part. C'était suffisant pour nous deux et maman n'avait pas plus à être dépendantes des autres. Après j'ai refait entièrement ma garde robe. Je devais avoir des beaux vêtements, des bijoux, des sacs pour chaque tenue, des chaussures, des sous-vêtements adéquates. Mon maquillage ne pouvait montrer aucune défaillance et c'est toujours comme ça. Mais quand je ne travaille plus, je suis différente. Mes clients ne me reconnaitraient probablement pas. Heureusement, on ne fréquente pas les mêmes endroits. Enfin j'ai de tout au niveau des personnalités. Du sadique au timide. De celui qui aime être dominé à celui qui aime prendre le dessus. Du patient au pressé. Tout n'est qu'une question d'adaptation. C'est ce que je me dis pour avoir le courage de me glisser dans la chambre. Souvent je bois un verre d'alcool fort pour être joyeuse durant les premières minutes. Je pourrais me droguer mais j'ai peur du résultat. J'ai peur de l'addiction. Y a trop de filles qui meurent d'une overdose. Deux dés à coudre de vodka ne me plongeront pas dans le néant de suite.


    « I stand firm for a soil
    I lick a rock of foil
    So reduce me, seduce me
    Dress me up in Stüssy »

    Je me suis demandée plusieurs fois si tout prendre comme un jeu m'aiderait. Le pire jeu de ma vie, une tentative masochiste et désespérée. Sauf que je n'y arrive pas. La séduction est un business. J'ai des obligations de résulats, sinon mon salaire est diminué. J'ai juste le choix de mes tenues et encore, je sais ce qui plait à mes différents clients. Aucun homme n'est pareil et ils aiment qu'on leur rappelle à quel point, ils sont uniques. L'égo masculin, c'est amusant. Il y a un homme qui m'a vraiment marquée. Peut-être parce que c'est le seul qui m'a donné du plaisir. Kasper Makela. Presque quarante ans. Propre sur lui. Gentleman. Le genre d'homme qui logiquement n'a pas besoin d'une sucrerie. Enfin si mais pas une qu'il se partagera avec d'autres. J'ai pas compris quand il a fait appel à moi. On avait rendez-vous à l'Astrid. Il m'attendait tranquillement. Un sourire et je baissais les yeux. Il avait un regard bienveillant. C'était la première fois qu'on me regardait comme ça. Il m'a fait parlé de moi. Je l'ai fait parlé de lui. On a ri. Il m'a acheté des fleurs. On a quitté l'Astrid. Ce soir-là, j'ai brisé pour la première et dernière fois, une de mes précieuses règles. Chez lui, j'ai répondu avec envie ses baisers. Ses mains. Son parfum. Sa voix. Quand je repense à cette nuit, j'ai des frissons. Nos souffles qui se mêlaient. La chaleur de son corp. Le mouvement de nos hanches. Cet homme aurait pu être dangereux pour moi. J'aurai pu le désirer un plus chaque jour. J'aurai pu vouloir être sienne. Mais il a disparu. Comme si tout n'était qu'un rêve. Je garde le souvenir des draps froissés, de ses lèvres disparaissant dans mon cou, mes doigts glissant dans ses cheveux blonds. Quand maman me dit que je devrais me trouver un homme, je pense toujours à lui. Mais les hommes comme ça, ce sont des rêves d'une nuit. Le lendemain, ils s'envolent et nous laissent avec le sentiment de n'avoir jamais existé. Je ne suis pas naïve, je sais qu'un homme bien, c'est une chimère. Homme ou femme, on a tous des défauts, on ment tous à notre façon. Mais parfois, je m'accroche à un idéal de quelques heures pour atténuer la douleur, pour faire rire maman. Elle aimerait avoir des petits enfants. Je lui dis qu'il y a le temps. Elle me dit qu'elle sait et je ris. Elle me répète de bien choisir. Que les hommes sont comme les poissons. C'est le même gouvernail qui les dirige. Je fais mine d'être choquée. Elle me souffle d'être lucide. Dans ces moments-là, j'ai envie de tout lui dire pourtant je me retiens. Son sourire doux me couve. Elle me caresse les cheveux en disant que je suis belle, qu'elle est fière de moi. J'ai envie de pleurer. De lui dire qu'elle se trompe. Rien ne sort. Le téléphone sonne. Je lui dis de se reposer, que je vais décrocher. A l'autre bout, c'est un homme.


    ORIENTATION POLITIQUE

    Vous intéressez-vous à la politique ? Oui [ ] _ Non [ + ]
    Êtes-vous pour ou contre l'Empereur ? Pour [ ] _ Contre [ ] _ Neutre [ + ]


    HUMAN NATURE
    Code du guide du joueur :
    VALIDÉ - D


Dernière édition par Melissa Zwölle le Mer 5 Mai - 20:25, édité 1 fois
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Daisuke Akihiko

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Melissa Zwölle Vide
MessageSujet: Re: Melissa Zwölle   Melissa Zwölle EmptyMer 5 Mai - 20:14

Comme quoi, être une sucrerie vivante, ça n'a pas QUE des bons côtés. ^^;
Le contraste entre sa vie professionnelle et sa vie personnelle est effrayant. J'ai envie de dire, pourvu que maman ne découvre rien mais en même temps... difficile hm. Courage à elle.
Peut-être qu'un grand blond avec de l'or plein les poches la délivrera un beau jour. Je lui souhaite. x)

Validé !

Have fun, caramilk gurl ~
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Melissa Zwölle

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