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 Wils Lünar - Préfet de Flinzam

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Wils Lünar

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Wils Lünar
Just another bad dream
Messages : 47



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Wils Lünar - Préfet de Flinzam Vide
MessageSujet: Wils Lünar - Préfet de Flinzam   Wils Lünar - Préfet de Flinzam EmptyJeu 29 Avr - 20:53

    Nom : Lünar
    Prénom : Wils
    Âge : 37 ans

    Métier : Préfet de Flinzam
    Lieu de vie : Flinzam, dans une élégante demeure à quelques pas de la mer.
    Lieu de travail : Flinzam, principalement.
    Loge : Lux

    { QUI ÊTES-VOUS ?

    Caractère :
    « Quand je serai grand, je ne serai pas comme mon père. Il dit qu'il préférerait que je devienne pilote, comme j'en ai envie. Il dit que l'important, c'est de faire ce qu'on a envie de faire, et de le faire bien, sans profiter de qui que ce soit pour se valoriser. Mais quand je lui demande s'il fait ce dont il avait envie quand il avait mon âge, il hausse les épaules en souriant : « Je voulais faire volcanologue et, vu les conditions actuelles... ». Je sais qu'il raconte n'importe quoi. Mon père il est comme ça, des fois il dit des choses qu'il invente. La plupart du temps j'arrive à faire la différence entre la vérité et les plaisanteries mais, pas toujours.
    Avec moi, il ne se fâche pas souvent même si des fois il est moins patient. Maman dit que c'est à cause de son travail. Je sais qu'il y a des gens qui disent qu'il est menteur et profiteur, mais c'est parce qu'ils ne le connaissent pas comme moi. C'est normal qu'il soit méchant, des fois, il travaille avec des requins, c'est pas sa faute. Et quand quelqu'un du travail vient le visiter ou que je l'accompagne au bureau comme ça arrive parfois mais pas souvent, c'est comme s'il enfilait un masque. Et je n'aime pas ça parce que quand il a ces yeux-là, j'ai l'impression qu'il ne m'aime plus et qu'il n'aime plus personne même pas maman. Aussi, je trouve que quand maman et moi on s'amuse bien et qu'on est contents, lui, même s'il sourit, on dirait qu'il n'est pas tant joyeux, jamais. Alors j'essaie de le faire rire et souvent ça fonctionne. C'est comme s'il était un peu triste, mais il ne pleure pas. Je ne l'ai jamais vu pleurer et quand j'ai demandé à maman elle m'a dit qu'elle non plus. Je sais bien que son travail il est compliqué et difficile et que des fois c'est obligé que papa fasse des choses pas bien, mais je lui pardonne parce que je sais qu'il le fait pour nous. Il n'est pas comme les autres pères. Un peu fou peut-être... Mais la folie, ça fait de bonnes histoires, avant de s'endormir.  »



    Je mens, je triche, j'utilise... Je me sers de ma famille pour dorer mon image. Les yeux de Chérie quand elle me regarde me font ravaler mes idées suicidaires et voir grandir Fiston me donne l'impression d'avoir réalisé au moins une chose de bien. Je ne suis pas pire que les autres seulement, avoir eu des amis journalistes ne m'a pas toujours servi... D'ailleurs, d'amis, aujourd'hui, je n'ai plus, sinon bien peu... Je ne les cherche pas et préfère prétendre en avoir. Ici et là, des soirées avec de soit-disant couples d'amis, avec des collègues...
    Dans ma vie privée, je suis un homme d'une ennuyante banalité. J'essaie d'être un père, un bon et, j'ose l'espérer, moins bête que le mien. J'essaie d'être un mari fidèle et digne de la femme qu'il a épousée. Je rêve d'anonymat et de journées entières passées à écrire. J'aurais voulu être journaliste, mais concevrais très bien me recycler en romancier ou essayiste. Si ma retraite le permet, peut-être... Mais on compte sur moi. Trop de gens comptent sur moi pour les appuyer, comme j'ai si bien appris à le faire. Je suis un opportuniste blasé par ce qu'il a acquis. C'était tellement prévisible, pourtant...



    « Une fois j'ai demandé à maman pourquoi elle avait choisi papa et elle a dit que c'était parce qu'il n'avait peur de rien et qu'il la faisait rire. Je trouve que c'est une bonne raison, quand même. »

    Physique :
    « Quand il revient tard le soir du bureau, il porte sur sa nuque de lourds remords qu'il ne m'avouera jamais. Wils, mon grand Wils aux épaules sur lesquelles il fait bon reposer. Il est plus fort qu'il n'y paraît... Oh, je ne lui en voudrais pas pour quelques livres en plus, au contraire. Il a maigri, et même s'il ne trouve pas toujours le temps de dîner avec nous, il court encore sur la plage, à l'aube. Sans doute pour se ménager les esprits davantage que le corps, mais je ne m'en plaindrai pas. Je lui ai déjà connu un teint moins terne, Wils a la peau légèrement basanée, de nature... Il lui faudrait des vacances, loin d'ici. Loin de ce vaisseau... Si seulement c'était possible. Pour relaxer et retrouver le jeune homme souriant et vif qu'il était. Pour retrouver l'éclat dans son regard. Je n'y vois plus qu'une désolation tranquille, une douce fatalité qui creuse des cernes sous ses yeux marrons. Wils a les yeux de l'Asie. Et les cheveux aussi, si noirs qu'ils en ont de légers reflets bleutés. Je les lui coupe courts sur la nuque, mais un peu plus longs sur le dessus, avec une frange qui lui tombe sur le front. Un front clair, droit, dont l'arrête du nez est discrète et s'effile étroitement jusqu'à son extrémité. Au-dessus d'une bouche aux lèvres fines dont les sourires, les vrais sourires, n'existent plus.
    Quand il revient tard le soir du bureau, je l'observe se dévêtir, dans l'ombre. Il porte, la plupart du temps, des complets, quelque fois avec une cravate, mais rarement. Ses gestes sont lents, je leur trouve une grâce qu'il ne se soupçonne sans doute pas. Wils a une élégance subtile, modeste, qui lui confère un certain charisme. Il est séduisant, pour autant qu'on aime le genre un peu sombre, voire un brin décalé. Avant de se glisser sous les draps, il jette souvent un coup d'œil à son reflet dans la glace, passe une main dans ses cheveux, puis se masse le visage. Son visage ovale dont les joues creusent quelque peu et dont les lignes de la mâchoire s'unissent en un menton arrondi ni fuyant ni très saillant. La plupart du temps, Wils se fait la barbe chaque jour, mais il lui arrive de sauter un ou deux matins, ce qui lui confère un air vaguement rustre qui n'est pas pour me déplaire.
    Enfin, il replace l'attache de la chaînette dorée qu'il porte en permanence au cou, et me rejoint. »

    Tranche de vie :

    Je me suis couché sur la mer. Nu. J'ai cru qu'elle m'avalerait, mais j'ai flotté. Je suis une carcasse vide. Un coquillage sans valeur qui ne sait plus que mentir du vent. Enfin qu'importe, je perds du temps. Aujourd'hui, j'amène Fiston à la plage. Nous construirons des châteaux de sable et jouerons aux requins. Des requins, tu sais ce que c'est? Ce sont ces bêtes aux dents aiguisées comme la lame du couteau que Papa et Chérie utilisent pour éventrer les melons et décapiter les brocolis. Les requins, ce sont ces types qui portent des costumes et qui ne sourient jamais, avec qui Papa travaille. Ils se nourrissent des gens qui n'ont pas les moyens de manger des melons et des brocolis tous les jours. Et après, ils s'accusent les uns les autres, quand la nourriture manque.



    Le Vieux est fier de son fils. C'est ce qu'il m'a dit, hier, assis dans l'escalier, devant la mer. Nous buvions une bière froide, rotions en chœur, et il a parlé. Le Vieux parle peu mais, quand il parle, il aime donner l'impression que c'est important. « Écoute, mon fils. » J'écoutais, j'écoutais... J'écoutais la mer respirer en regardant Chérie jouer avec Fiston, dans le sable. Son sourire était mon couché de soleil. Elle était belle, dans son maillot de maman pudique, avec son voile noué autour de la taille. Elle était belle et j'avais envie de l'embrasser, de la prendre dans mes bras et de lui dire combien elle m'est précieuse. Je voulais son parfum et sa voix, sa bouche... Mais le Vieux parlait, avec sa main énorme posée sur mon épaule, et ses petits yeux, cachés sous ses paupières tombantes, levés vers les miens. Alors je l'ai regardé, tout en songeant que je ferais l'amour à Chérie, ce soir. « Wils, regarde-toi. » J'ai plutôt porté ma bouteille à mes lèvres une fois de plus, me semble-t-il. « Regarde cette jolie maison! Regarde ce que tu es devenu, ce que tu as accompli... Je dois t'avouer, Wils, que je n'y ai pas toujours cru. Mais je savais bien que tu avais les couilles d'un politicien. » Mon père est vulgaire. Cela dit, il a tout de même le crédit d'avoir changé mes couches. « Les journalistes sont des faiseurs de mensonges! Ils n'ont rien dans leurs culottes! » Il allait s'emporter et, s'il ne s'était pas calmé de lui-même, je crois que je l'aurais laissé se taper une nouvelle petite crise cardiaque. Un pas de plus vers la tombe pour lui et vers l'héritage pour moi. « Mais toi Wils, toi tu as compris! L'argent, le pouvoir, il est dans la politique, pas ailleurs. Et puis vois tout ce que ça t'as apporté... Te voilà marié à une femme superbe... Père d'un brillant garçon qui t'adore... » Pauvre petit Vieux. Il s'est dépêché de faire disparaître du revers de sa patte poilue la première larme parvenue à franchir les cratères de ses yeux. « Ta mère serait tellement fière de toi. Moi... Moi je suis fier de toi, mon fils. Je suis vraiment, vraiment très fier de dire que je suis le père de Wils Lünar. » Je n'ai pas su réprimer l'hypocrisie de mon sourire, mais le Vieux n'a rien vu parce qu'il se mouchait sur ma chemise, ses gros bras m'enserrant comme rarement auparavant. J'espérais que ce soit sa mort imminente, qui le rende si braillard. Hélas, il n'est toujours pas mort et continue de m'emmerder, avec sa fierté de père raté.
    Finalement, cette nuit-là, c'est Chérie qui m'a fait l'amour.



    Pour Fiston, pour moi, pour nous, tu as sacrifié ta carrière et t'es amputée d'indépendance. J'admire ton optimisme et ta sensibilité, ton intelligence. J'aime ta douce franchise. J'aime que tu m'aimes malgré ce que je suis. J'aime ne pouvoir te résister, ne savoir te dire non. Ta voix caressante qui sait ce qu'elle veut. La tristesse dans tes yeux clairs et le sourire sur tes lèvres roses. Entre mes doigts, j'aime la soie noire de tes cheveux qui coulent sur ton dos. J'aime ce que tu as trouvé de mieux en moi; un fils. J'aime déjà la fillette dont tu rêves et la fidélité qui te tient prisonnière. Par égoïsme et par crainte. Je sais que tu m'es acquise et préfèrerais parfois l'ignorer, Leea.



    Une journée dans la vie de Wils Lünar. Quel intérêt... Bon aller, prêtons-nous à l'exercice. Pour passer le temps. Car j'attends. Me voilà à l'orée d'une palpitante rencontre. Une de plus. Monsieur Z vient chercher son dût. Une signature. C'est que Monsieur Z est un influent entrepreneur souhaitant élargir son empire par ici. Monsieur Z dit que les riches en vacances ont besoin de se laisser aller à quelques divertissements, aussi compte-t-il établir l'un de ses fameux cabaret chic là. Précisément là où une poignée d'écologistes dangereusement motivés souhaitaient aménager un nouveau parc à saveur exotique, qui aurait servi d'habitat à quelques pauvres lézards de je ne sais quelle réserve qui risquent de passer à l'euthanasie, car trop nombreux. Trop fringants, en fait. Une petite rousse avec une tête de poupée m'a tout expliqué en détails, l'autre jour, entre deux réunions, les mains plaquées sur mon bureau, ses grands yeux mouillés d'amour pour ses lézards cloués aux miens. Par pitié, je lui ai répondu que je verrais ce que je pourrais faire. Seulement, Monsieur Z a débarqué pas longtemps après et lui, à l'instar de la rouquine militante, avait de quoi valoriser son projet. Un chèque. Je n'ai rien contre les lézards, mais ici il faut payer pour vivre, qu'ils en tirent une leçon.
    Bref, c'est grossièrement ce à quoi se résume souvent mon quotidien. Je suis comptable. Je fais dans les finances. Et agriculteur. Je cultive l'argent. Agricomptable. Autrement dit : politicien. J'achète les idées aux plus offrants. C'est beau la politique. On m'avait dit que ça faisait partie du jeu, alors je joue...

    ...

    Markus, excuse-moi d'avoir participé à ta venue en ce monde. Quoique monde est un bien grand mot. Excuse-moi plutôt d'avoir participé à ta soudaine apparition au milieu de nulle part, dans le grand froid, dans le grand vide. Dans cette cage géante qui deviendra ton tombeau. Je t'ai bercé dans ta tombe. C'est amusant, non... Ton père est un vieux nostalgique d'une époque qu'il n'a même pas connue. Mais tu es un garçon intelligent, tu lui pardonneras et feras mieux que lui. Tu deviendras pilote et tu te trouveras une belle petite planète pour y planter des arbres et t'y construire une cabane. Tu amèneras maman, si elle y est toujours. C'est bête de te le demander, je sais bien que tu le feras...



    Pour son anniversaire, Fiston voulait un chien. En sonnant aux bonnes portes, profitant de quelques connaissances bien placées, je suis parvenu à lui en obtenir un. Un petit machin blond et ébouriffé qui pisse partout et qui fait l'innocent. Fiston était très content, et Chérie aussi. Moi, moins, mais quand même. Jusqu'à ce que... « Je vais m'en occuper, c'est promis! Je te le jure sur la tête de... » Ça va, ne jure pas Fiston, Papa a compris. Tu vas lui ouvrir la porte, au machin, quand il va avoir envie d'évacuer, et tu vas lui renverser une montagne de croquettes dans sa gamelle – et sur le plancher de la cuisine - le matin. C'est d'accord, je vais t'en trouver, un...un... Comment déjà? « Golden! » Ouais, c'est ça. Et donc, jusqu'à ce que « Papa, tu peux sortir Luka? Maman dit que j'ai pas le temps parce que je vais être en retard à l'école. » Jusqu'à ça, bref. Je suis devenu le promeneur attitré de Luka le chien. (Luka pour Lukasiewicz. Fiston est fan de la jeune pilote... Pauvre gamin, j'estime ses chances à nulles, ou à un poil de nulles). Alors voilà, me voici à traîner Golden Luka le chien sur la plage, parce qu'il le faut bien. Et parce que j'aime bien la mer, même si elle est artificielle et qu'elle a forcément une limite. Il me prend l'envie, parfois, de plonger et d'aller vérifier. Un jour j'irai voir. De toute façon, un requin de plus ou de moins...

    ...

    Tranche de vie aux quarante-trois céréales enrichie d'oméga-3-6-9-11-13-17-15-23-0-543 245-369, de calcium, de plutonium, de vitamine A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T etc., de rayons UV, d'engrais, de potassium de potager, d'amidon et donc d'amis, de neurones, d'hormones et sans une seule petite calorie égarée. C'est bon pour ta santé, qu'elle disait, ma Chérie, en m'embrassant sur le front comme Fiston. Et Fiston il se marrait, avec sa confiture autour de la bouche. Il en avait jusque dans les oreilles, je parie. Hey Fiston, t'as de la confiture dans les oreilles! « Quoi? » Il ne m'entendait pas, il avait de la confiture dans les oreilles... Je déteste ça, manger quand je n'en ai pas envie. Moi je voudrais une gamelle, comme Golden boy Luka le chien qui brille. Comme ça je pourrais y manger que lorsque j'en éprouverais le besoin.
    Je dévie. Parce que cette tranche de vie blanche et pourtant si nutritive (j'en ai l'estomac aussi lourd que les paniers de pic-niques que Chérie me fait traîner), je ne la digère pas très bien. L'autre jour, un gars m'a demandé d'écrire ma biographie. Sur le coup, je n'ai pas répondu. Alors il a répété sa question, en la sur-enrobant préalablement de compliments et diverses flatteries. À cette reprise j'ai répondu, il me semble, quelque chose comme : Hmm... Puis j'ai ajouté, quelques secondes plus tard : Je doute que ce soit une bonne idée, monsieur...? En fait, l'idée, je préférais la garder pour moi, tout simplement, pour quand je serai vieux et que je n'aurai plus toute ma tête. Le moment idéal pour me lancer dans cette grande aventure. Le type sans nom a répliqué qu'on pourrait commencer par une entrevue et sans attendre il a commencé. Il m'a demandé pour mes parents, mon enfance, toutes ces conneries... J'ai fait comme si j'avais du mal à me rappeler, du mal à me souvenir ma mère malade et mon père qui n'était bon qu'à répéter les mêmes leçons et à brailler sur son sort. « Il faut travailler, gagner de l'argent, il faut se battre pour réussir, mon fils, pour faire vivre les siens, c'est tout ce qui compte. Regarde-moi, je me suis tué au travail, pour ta mère et toi... » Et là il se mettait à parler de cette pauvre Maman qui souffrait, et de comment c'était dur de la voir ainsi, mourir un peu plus tous les jours (comme tout le monde...). Le Vieux qui ramenait toujours tout à lui. Et Maman qui est morte, qui s'est envolée, un beau matin, avec le sourire aux lèvres. Elle a traversé l'acier et a rejoint ce paradis, dont elle rêvait.
    J'ai fait comme si j'avais du mal à me rappeler mon mariage. Chérie si heureuse avec Fiston dans son ventre, et moi qui ne pensait qu'à ma carrière. Chérie toujours heureuse avec Fiston dans ses bras et moi qui me rendait compte que, merde, cette femme, je l'aimais vraiment. Je me souvenais pas, non plus, Fiston et sa tête de sumo, petite chose joufflue qui m'a ouvert les yeux, avec ses pattes potelées. Vraiment, j'avais beau me creuser les méninges, je ne voyais rien qui vaille la peine d'écrire un livre, alors j'ai raccroché.

    { ORIENTATION POLITIQUE :
    Vous intéressez-vous à la politique ? Oui [x] _ Non [ ] Aujourd'hui, davantage par nécessité que par réel intérêt.
    Êtes-vous pour ou contre l'Empereur ? Pour [ ] _ Contre [x] _ Neutre [ ] Mais je vous ferai croire le contraire, s'il le faut.


    { Et vous ~
    Code du guide du joueur :
    [CODE VALIDE - MEI]


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Wils Lünar - Préfet de Flinzam Vide
MessageSujet: Re: Wils Lünar - Préfet de Flinzam   Wils Lünar - Préfet de Flinzam EmptyDim 2 Mai - 17:58

Je veux bien manger des tranches de vie enrichies aux 43 céréales et hyper-vitaminées tout le temps hein !
J'ai adoré le jeu avec le point de vue de son fils et de sa femme. Et puis le petit, aw, je l'imaginais trop regarder son père avec des yeux fiers, le genre «Mon papa, c'est mon héros ». Et puis sa complexité, son humanité...
( Et et le clin d'oeil à Nat x) ).

Ahem, je vais pas faire une tartine :

VALIDÉ

Et puis, Papa Lünar lui manquera quand il aura rejoint l'autre monde xp
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