1940. Glasgow. Une ville avec ses inconvénients et ses ombres de souvenirs, ectoplasmes, figés dans le monde de l'invisible.
Votre corps avance vers ces ruines qui vous sont si familières. Vous passez non loin d'elles plusieurs fois par semaine, et chaque regard lancé en leur direction vous envoie un électrochoc, suivi d'un étrange sentiment de mal-être. Mais cette fois-ci, vous avez froid. Si froid, que ces morceaux poisseux de braises éteintes depuis trente ans vous redonnent les souvenirs d'une cheminée chaude. Une cheminée que vous n'avez plus, une maison que vous n'avez plus. À la rue depuis deux jours, sans personne pour vous aider et la faim, fine folie tentatrice, vous titille de plus en plus. Prostituée, vous vous êtes enfuie des quartiers cachés de la débauche. Fils maltraité, vous avez fuit les menaces paternelles, les coups de pelle dans vos reins. Mère malade, vous vous réconfortez dans les haillons de vos derniers morceaux de laines. Tous perturbés, vous avez l'impression d'être attiré inexorablement par ces ruines, et vous avancez sans même vous rendre compte du nombre de pas effectués pour parvenir jusqu'à elles. Vous êtes comme fasciné par les décombres du passé, et vous essayez de ne faire qu'un avec cette époque révolue. Les ruines ne sont plus que des cendres basanées, dégageant une odeur macabre fouettant vos narines. Elles persistent jusqu'à vous et vous enveloppent tendrement, telles les tentacules d'une veuve Noire qui voudrait vous faire siens.
Vous plongez inconsciemment dans les visions du passé, en jetant un œil curieux sur des morceaux de papier calcinés qui traînent autour de vous. Vous étendez vos doigts croqués par la chaleur de l'hiver vers ces morceau jaunis. L'encre persiste encore, malgré toutes ces années à subir les pluies et les saisons. Vous êtes intrigués, vous vous sentez confus, dérangé, instable. Mais vous ne cédez pas aux caprices de votre intuition et vous agenouillez, approchant progressivement votre visage d'une écriture à peine lisible. Votre nom s'y trouve, votre âge.
On vous informe de votre arrivée dans un asile, et vous fixez obstinément ce morceau de papier. Une mauvaise blague ?
De consumé il passe à froissé, de froissé il devient plié puis juste chiffonné. Il semble se régénérer entre vos mains, et les tâches de sang qui le souillent vous laissent sceptique lors de leur subite disparition. Vous n'osez pas relever la tête, trop captivé par cette étrange découverte. Un fou qui s'adresse à vous, comme si vous étiez réellement présent en ces lieux désormais inexistants. Des lettres de confidences, des mots doux parfois et, deux lignes plus loin, des suites inépuisables d'insultes. Mais... cette lettre vous est destinée. Ces insultes... pourquoi semblent-elles coller à votre situation ? Sale catin ! Vieille femme sans rêves, destinée à pourrir, et à geler... Et encore toi, petit garçon, chérubin aux ailes tordues, sans avenir, sans amour, mal-aimé.

Vous vous sentez transporté, captif d'un désir involontaire de tout découvrir sans qu'aucun indice ne vous file entre les doigts. Mais vous tremblez parce que votre corps ne se contrôle plus et la marge, aussi fine soit-elle, entre la réalité et l'imagination menace de se fendre en deux.
Le papier se régénérant, vous le surprenez en train de brûler nouvellement. Surpris par ce phénomène, vous vous redressez, vous le lâchez et voyez tout autour de vous l'asile reprendre feu, renaissant de ces cendres comme un phœnix, pour mourir une seconde fois. Vous croyez entendre les cris des patients surpris par la folie de leurs dirigeants, dont vous pensez apercevoir le visage brûlé derrière une porte entrebâillée.
Son regard révulsé, ses yeux parés à sortir de leurs orbites, sombrant en pleine démence, vous fixent, faisant de vous une proie idéale, et tellement vulnérable que même la fuite ne vous amènerait nulle part. Il vous observe comme si vous n'étiez que de la chair bonne à déguster, et son sourire carnassier vous évoque celui d'un de ces meurtriers psychopathes avec lesquels vous feriez connaissance dans un bon livre. Ricanant bruyamment, son rire badin se transforme en hurlement de calamité, son visage se décomposant comme la cire d'un cierge sur laquelle une flammèche prendrait le dessus. Et il cri. Hystériquement, elle vous hurle dessus à pleins poumons, levant un doigt ensanglanté vers vous. Avec vivacité, les flammes le dévorent, laissant uniquement son badge fondre plus lentement au contact du feu. Vous vous approchez, confus et terrorisé, croyant lire sur ce morceau métallisé l'histoire de tout un asile. Y est gravée une identité qui vous rappelle un article de journal lu il y a de cela trente ans, ou dont vous avez peut-être entendu parler, alors que vous étiez encore si jeune : Isaac Gregory's devient votre unique centre d'attention.
Il est responsable. Et écoutant ses plaintes s'évanouir, vous surprenez le feu en train de se retirer lentement mais sûrement, cessant de vous chatouiller les mollets et se préoccupant de s'éteindre.
Petit à petit, les locaux du manoir qu'était l'asile retrouvent leur apparence d'antan et vous restez planté là, immobile, prenant racine dans ce sol que vous aviez retrouvé brûlé et qui se trouve maintenant carrelé. Vous tournez sur vous-même, comme hébété par cette mésaventure, pris de court et complètement dépassé. Vous croyez vous trouver dans une autre époque, bien que celle-ci ressemble étrangement à la vôtre. Et là, vous vous demandez ce qui est à l'origine de cette énigme.
Tandis que vous vous sentez bien déboussolé, vous surprenez un sillon de petites tâches rouges s'étendre de vos orteils jusqu'à l'obscurité qui enténèbre les environs. Vous vous souciez de ce qui va vous arriver, mais vous vous laissez guider par votre imprudence et votre curiosité. Le langage de l'hémoglobine semble vous susurrer à l'oreille des indices, mais vous n'y prenez pas gare et continuez de suivre le chemin ensanglanté. Et quand vous avez pénétré dans la pénombre, vous surprenez une paire de chaussures s'en extirper. Vous relevez votre visage d'inconscient et apercevez un homme au physique énigmatique, au visage pâle et maladif. Tout autour de vous règne une odeur sanguine, métallique, accompagnée d'une ambiance médicale désagréable. Vous vous sentez nauséeux et fatigué pour X raison et vous écoutez la voix de cet homme que vous connaissez pourtant si bien, vous dire que vous êtes arrivé à bon port et que votre guérison ne fait que commencer. Une voix Ô combien suave et trompeuse, qui vous fait l'effet d'un vilain sort vous envoûtant, et vous menant par le bout du nez comme d'un rien. Cet inconnu, vous savez intérieurement qu'il s'agit du Dr Gregory's, accompagné de sa compagne Khrystel Geels. Mais une partie de vous-même refuse de l'accepter et enfouit ce détail dans les profondeurs abyssales de votre mémoire.
Petit à petit, vous oubliez tout de ce que vous avez appris et vous vous laissez conduire dans un bureau, celui d'une secrétaire maigrichonne, squelettique, qui enregistre tout ce qui vous concerne. Vous vous sentez impuissant et déballez tout ce qu'ils ont besoin d'archiver sur votre personne, votre passé misérable, votre famille, vos relations avec celle-ci, vos problèmes, vos peurs. Oppressé par le sourire badin d'une dénommée Elyse Cromwell, vous ne pouvez vous empêcher de fuir son visage terriblement enfantin.

« Et tout redeviendra comme avant. Telle une légende, tout s'estompera et le visage de cet ancien patient devenu dirigeant du plus célèbre asile du Nord de l'Angleterre ne sera plus qu'un lointain souvenir. Plus que des souvenirs consumés sur un morceau de papier calciné. Son nom n'existe plus, il est le fantôme du passé. Un passé ancré dans le présent. De 1910 à nos jours… ? Tout redeviendra comme avant. Et tous ceux qui suivront sombreront, comme moi. Mais tout ira bien… »

Et un murmure vous répète inlassablement dans une longue litanie :
« Tout ira bien. »

Ceci est un extrait. Le contexte est très long. Pour ne pas "encombrer" cette demande, vous pouvez consulter le contexte en visitant le forum.

Vous êtes sur Amoï, une planète qui jadis était un vulgaire caillou stérile. Désormais, elle est peuplé de Blondie, de Pet, de Meuble, d’Androïde ou encore de Mongrels. Le tout surveillé et même contrôlé par Jupiter, une entité très puissante qui a réussit à prendre le contrôle sur ses créateurs pour ensuite créer un monde tels qu’elle pense être parfait.

De nos jour, les Blondies se divise en deux groupes. Après la mort de Iason, un blondie très puissant, favoris de Jupiter, les Blondies que l’on juge de « seconde génération », ne voit plus celle-ci comme étant la parole « divine » et n’hésite pas à défier sa colère, passant outre les lois que leurs « mère » a imposé. Mais il existe encore des Blondies de « premier ordre, première génération » qui eux, ne toucheront jamais un pet ou humain pour découvrir le plaisir charnel, il croit en Jupiter et lui sont serviable sans aucune hésitation.

Pendant que les Blondies se divises en deux groupes, les humains, Pet et même Meuble pense avoir un jour le droit de vivre libre. Ils voient en ses changements une faiblesse du système et mettent en place divers gang, divers plans pour attaquer les Blondies. Espérant même toucher Jupiter et la détruire. Mais cela arrivera t-il un jour ?

Pour le moment, rien n’a changé, les Pets sont toujours en vente au Petshow et servent leurs maîtres avec plaisir ou par force. Les Meubles sont toujours castrés sauf avec les Blondies de 2nd génération. Les Mongrels et citoyens se rassemblent pour se battre... Le monde change petit à petit, Jupiter n’a plus totalement le contrôle sur ses fils, ce qui ne présage rien de bien pour l’avenir...

" Loi Anti-Combat

Nous vous annonçons que les combats pokémons sont devenus illégaux, les arènes et la ligue sont désormais fermées. Si nous apercevons toutes formes de combat, les protagonistes seront jugés et envoyer en prison.
La loi contre toutes formes de combat pokémon a été voté et est en application dès aujourd’hui...

La "Purification". Ce terme est utilisé pour désigner le fait de changer les propriétés génétiques d’un humain afin de faire de lui un prototype plus ou moins fonctionnel. Grâce à cette entreprise, les scientifiques purent créer toutes sortes de spécimens dotés de capacités psychiques... mais à quel prix ?

Nous sommes en l'an 2055, à Metropolis, ville hautement technologique divisée en trois clans. Tout d’abord les Réplicants, rebelles se liguant contre le gouvernement afin d’arrêter toutes formes d’études génétiques sur les humains. Ensuite les Pacifistes, bienfaiteurs de la société demeurant dans la neutralité la plus totale. Et enfin les Forces Armées de Répressions (F.A.R), prêtent à défendre les convictions des scientifiques au point de leur livrer n’importe quel humain, à n’importe quel prix, pour n’importe quelles expériences...

En 2052, un pensionnat fut fondé à Metropolis dans le silence le plus absolu, par un dénommé Lawrence Hill, l’un des nombreux survivants de la "Purification". Le bâtiment en lui-même est immense et s'étend sur plusieurs hectares afin d'apporter le maximum de possibilités d'enseignement.

De l’extérieur, le Pensionnat donne sur un entrepôt désaffecté, prenant ainsi l’apparence d’une usine abandonnée dans un quartier délabré, sans aucune activité, pourtant au cœur d’une ville emplie de mouvements, de lumières et de merveilles technologiques. Cette couverture aura permis à Lawrence d’agir dans l’anonymat un certain temps. Mais c’était sans compter sur les traqueurs des Forces Armées de Répression qui s’infiltrèrent un peu partout dans la ville y compris au sein du Pensionnat.

Désormais, le pensionnat court un grave danger.

Le pensionnat de Metropolis a été érigé dans le seul but : la vengeance, contre les scientifiques s’étant servis des humains pour faire avancer la génétique. Ainsi le directeur Lawrence Hill souhaite-t-il former une élite de jeunes adultes qui seront capables de succéder à leurs prédécesseurs humains pour s’infiltrer dans la société et dominer les Forces Armées de Répression afin qu’elles ne leur fassent plus aucun tord.

Pour ce faire, le directeur se charge lui-même de réquisitionner chaque individu répondant aux caractéristiques psychiques que les modifications génétiques présentent sous différentes races. Il leur envoie simplement une invitation afin de les prévenir de leur admission mystérieuse. La situation leur est expliquée par le directeur lui-même à leur arrivée au Pensionnat.

L’avenir de Metropolis est entre vos mains.


"LA GUERRE C’EST LA PAIX,
LA LIBERTÉ C’EST L'ESCLAVAGE,
L'IGNORANCE C’EST LA FORCE."
1984, George Orwell.

« Croyez-moi, je n’ai jamais souhaité être un sang mêlé. Si vous lisez ces lignes parce que vous soupçonnez en être un, vous aussi, écoutez mon conseil : refermez ce livre immédiatemment. Prenez pour argent comptant le mensonge que vos parents vous ont raconté sur votre naissance et tentez de mener une vie normale. Une vie de sang–mêlé, c’est dangereux.C’est angoissant. Et, le plus souvent, ça se termine par une mort abominable et douloureuse. Si vous êtes un gamin normal qui avez ouvert ce livre en pensant qu’il s’agissait d’œuvre de fiction, parfait. Poursuivez votre lecture. Je vous envie de pouvoir croire que rien de toute cette hisoire n’est jamais arrivé. Mais si vous vous dans ces pages – si vous sentez quelque chose remuer en vous – arrêtez tout de suite de lire. Il se pourrait que vous soyez des nôtres. Or dès l’instant où vous saurez, il ne leur faudra pas longtemps pour vous percevoir, eux aussi, et se lancer à vos trousses. Je vous aurai prévenu, ne dites pas le contraire. » Percy Jackson

Imaginez deux secondes, si le monde, qui nous entourez, n’était pas ce qu’on aurait pu penser. Les gens croyent qu’il n’y a que un seul dieux sur terre. Pourtant, ils sont plusieurs. Connaissez-vous les dieux de l’Olympe ? Oui, vous savez Zeus, Poseidon ou Hadès ? Ils sont les dieux de la mythologie grecque. C’est eux qui dirigent notre notre monde. L’Olympe migrent selon les siècles pour être, aujourd’hui, au Empire State Builduig. Il existe aussi une colonie de sang-mêlé qui protège depuis des années tous les enfants des dieux des monstres qui les traquent pour les tuer.

Il y a deux ans, le monde a presque failli devenir un champ de bataille, à cause d’un conflit entre dieux. Zeus était en colère qu’on lui avait volé l’éclair primitif, avec le quel il avait battu Cronos. Il a accusé un des fils de Poseidon, Percy Jackson. En même temps, Hadès était fou de rage car on lui avait volé le casque d’invisibilité. Percy Jackson devait prouver son innocense dans une quête :



"Tu iras à l'ouest et tu rencontreras le dieu qui s'est retourné,
Tu trouveras ce qui fut volé et le verra restituer sans dommage,
Tu seras trahit par quelqu'un qui se dit ton ami,
Mais à la fin, tu n'arriveras pas à sauver ce qui compte le plus."


Le coupable ne fut que Luke Castellan, le fils de Hermès. A la fin de l’année quand Percy était revenu de sa quête et que tout le monde rentrait chez eux, il a essayé de le tuer avec un scorpion en partant pour rejoindre Cronos. Durant l’année, qui a suivi, Percy fit des rêves sur Grover, un satyre, qui la protégeait, et son meilleur ami, lui a fait parvenir par un lien mentale, un message. Grover avait été piégé par la toison d’or. Il croyait qu’il avait été sur la trace de Pan, mais il n’était que un des satyres qui croyait qu’on s’approchait de son dieu. Un cyclope l’avait emprisonné en croyant que c’était une dame cyclope. Percy s’engagea dans la quête de Clarisse, avec son frère Tyson et Annabeth, pour secourir Grover.



"À bord du vaisseau de fer aux guerriers d'os tu navigueras,
Ce que tu cherches tu trouveras et tu t'approprieras,
Mais enfermée dans la pierre tu croiras à ton trépas,
Sans amis tu échoueras ; par vol seule tu rentreras."

Percy réussira à sauver Grover et à revenir en Floride, où Clarisse prendra l’avion pour ramener la Toison d’or. Luke prendra d’assaut le petit groupe juste après que Clarisse aura pris le taxi. Il leur fera sous entendre qu’il ne leur aurait pas laissé la toison, s’il n’en aurait pas fait l’usage avant. À bord du Princesse Andromède, Percy arrivera à faire un message Iris à Dionysos pour lui prouver que Chiron était innocent dans l'affaire du pin de Thalia, qui fut empoisonné. Luke, énervé par l'entêtement de Percy, se battra contre lui. Le combat tourna mal. Quand Percy était entrain de perdre, Chiron et ses cousins vinrent à la rescousse de Percy et ses amis, en combattent l’armée de Cronos. Ils ramenèrent nos jeunes héro à la Colonie. Ils purent mettre la Toison d'Or sur le pin de Thalia pour essayer de le sauver. L’effet de Toison guérira trop bien le pin. Il y eut un effet secondaire : La résurrection de Thalia, fille de Zeus.


Actuellement, nous sommes en avril 2011. Cela fait huit mois que la révolution a commencé. Les révolutionnaires parcourt le monde sur le paquebot « Princesse Andromède », en recherchant des nouveaux membres à leur cause. Pendant ce temps, la colonie essaie du mieux qu’elle peut, en se préparant et se protégeant. Les montres sont jamais loin, toujours entrain de rôder autour. Ne soyez pas inquiet, vous êtes en sécurité dans la colonie des Sang-mêlés. Depuis que la toison d’or à la colonie, les frontières ont été remises en place. Je ne parle pas des quelques révolutionnaires qui gardent un œil sur l’avancement de la colonie. Ça, c’est une autre histoire. Les temps changent des tas de choses se passent. Les dieux sont de plus en plus tendus. La dernière réunion au solstice d’hiver n’a pas porté ces fruits. Saurez-vous de la partie ? Ou resterez-vous en dehors de cette histoire ? L’avenir est si incertain, il dépend de vous.

→ H A N A. B I 「花火」

Un lycée au Japon, c'est une véritable institution. Lorsqu'on est lycéen au Japon, on l'est à part entière, et ce pour trois années consécutives. Le travail est immense et les cours difficiles, mais l'objectif est de réussir ses examens et entrer à l'université. Le lycée, ce n'est cependant pas que les cours. On s'y fait des amis, même plus, on y vit chaque jour et même le week-end. Ce n'est pas que les cours, car il y a les clubs, les associations... Le lycée, c'est comme une deuxième vie, mais dans un seul endroit.

Le lycée Yokohama High School (de son nom complet Kanagawa-ken Ritsu Yokohama Kôtôgakkô) ne fait pas exception à la règle. Des clubs, il en contient des dizaines : kendô, kyûdô, dessin, football, natation, danse, musique, gym, théâtre, photographie... Et quelques autres. Les groupes se forment, chacun avec un capitaine à leur tête. Et au-dessus de tous, se dressent le Roi et la Reine, élus par les élèves comme on élit un président ou un premier ministre. Ce sont le garçon et la fille les plus populaires du lycée (les plus appréciés ? Rien n'est moins sûr ! Les rivalités et la jalousies ne sont pas loin), et leur influence a beaucoup de valeur...

Depuis quelques mois, le lycée de Yokohama High School fait face à des difficultés financières. Mais cela n'a été avoué il n'y a qu'une semaine. Le directeur, M. Yoshimizu, a fait un discours qui concernait particulièrement les budgets attribués aux clubs : ces sommes allaient être réduites, ainsi certains clubs seraient avantagés. Il a également annoncé une possible fermeture de certains clubs si ceux-ci ne décollaient pas. M. Yoshimizu a alors lancé un défi à toute l'école : chacun devra mettre en valeur son club, le propulser en haut de l'affiche, augmenter sa popularité, son nombre de membres, en bref, faire de son club le meilleur. Ce club sera favorisé et recevra une somme plus coquette, tandis que les autres subiront le poids des restrictions budgétaires.

L'annonce de ce défi a provoqué un véritable raz-de-marée parmi les élèves. Les clubs sont en ébullition, il faut trouver des idées pour les motiver ! Mais aussi pour jouer des tours aux concurrents, espionner et même saboter. Les coups bas se multiplient.
De plus, des évènements approchent, telle la fête d'anniversaire de l'école... C'est une occasion rêvée pour mettre son club et valeur. De plus l'élection du Roi et de la Reine de cette année approche, il faut se mettre les plus populaires dans la poche.
Les enjeux sont immenses...

Bienvenue à Yokohama High School !