Nom : Van Aalbrück
Prénom : Viveka
Âge : 24 ans! ... Bon très bien... 43 ans...

Métier : Impératrice
Lieu de vie : Arkmeen
Lieu de travail : Alyo Imperian
Loge : Lux

{ QUI ÊTES-VOUS ?

Caractère :

Hum... Moralement parlant, Viveka est un sujet épineux. C'est une boule de paradoxes, une énigme de la nature, elle aime à penser qu'il y a toujours deux reflets à son image lorsqu'elle se regarde dans un miroir. Réellement mi-ange mi-démon, elle peut être délicate et sensible, aussi bien que laisser éclater sa colère, volcanique et tenace. Aussi lunatique que pourrait l'être un loup-garou, elle oscille, mi-figue mi-raisin, entre l'élégance et la voracité.
Une femme dans sa représentation la plus commune, partageant sensualité avec mesquinerie. Ce caractère, aussi difficile à percer que le cristal renferme en vérité une faille béante qu'elle cache aussi bien qu'elle sait être délicieuse, exemplaire, en société, rendant on ne peut mieux justice à son époux et lui faisant honneur.
On peut facilement dire qu'elle vit la démesure, entre clair et obscur, les sens emmêlés aussi bien capable du meilleur que du pire. Farouche et soumise à la fois, elle n'a pas sa langue dans sa poche, ne s'exprime qu'exclusivement par sarcasmes et ironie avec les gens qu'elle n'aime pas, alors qu'elle est chaleureuse, aimable, adorable, avec ceux qu'elle apprécie.
Le cœur sucré/salé, capable d'être dangereuse tout en étant amoureuse, Viveka est une femme au caractère particulier et précis, une mécanique complexe, mais bien huilée, aux rouages particulièrement sensibles et fragiles. Fragilité qui ne s'exprime pour l'Impératrice qu'en espaces clos de toute intrusion indiscrète.
Particulièrement réservée, elle exècre parler d'elle et se gardera bien au cours d'une discussion de se citer en exemple, de ne laisser filtrer quoique ce soit à son sujet, effrayée qu'on puisse faire le lien entre elle et son passé, qu'elle garde aussi jalousement que Gollum garde l'anneau... Autant vous dire que celui qui viendra lui faire cracher ses secrets n'est pas né. Dans l'optique de garder ces informations confidentielles, uniquement par protection, Viveka est devenue une excellente menteuse.
Douée d'une intelligence qui lui a maintes fois sauvé la mise, elle ne se laisse pas bêtement piéger. Dépourvue de naïveté, elle sait pourtant bien feindre l'écervelée, pour mieux tromper son monde. N'y voyez pas là une quelconque mesquinerie, il s'agit tout simplement d'un mécanisme de défense, devenu automatique. Pas vraiment prude ni pudique, elle ne se donne pourtant que rarement en spectacle, et jamais lorsqu'elle peut l'éviter.
Cela dit, contrairement aux apparences, Viveka n'est pas cruelle, loin s'en faut. Elle est juste timide et renfermée, ce qui peut la laisser croire frigide et indifférente, alors qu'au fond elle se sent juste très seule. N'ayant pas vraiment le caractère bien trempé, habituée à se voir commandée durant toute sa vie, se retrouver sans personne pour la guider l'a rendrait encore plus secrète qu'elle ne l'est, plus taciturne encore, peut-être, plus méfiante.
D'un naturel plutôt doux, elle se moque complètement qu'on la prenne pour une bille, se disant finalement que tout se paie un jour. Sans préjugés d'aucune sorte, elle paraît lisse et sans avis de prime abord, pour mieux s'affirmer par la suite. Mais une fois encore, avant de parvenir à un degré d'intimité suffisant pour cela, en terme de comparaison, on vous demande de gravir l'Everest...
Cultivée, elle parle maints dialectes, toujours avec un léger accent, qui lui donne un charme quelque peu exotique. Blasée mais du genre prudente, si de mauvaises expériences s'offrent à elle, elle les laisse évoluer, atteindre leur apogée, et décliner tranquillement. Après tout, rien ne sert de courir... N'ayant pas l'âme d'une fière combattante mais plutôt celle d'une femme de salon, elle manie cependant quelques armes avec une grande habileté. Rechignant à en venir aux mains, peu à l'aise avec le combat qu'elle répugne, elle est plus volontiers friande de courbettes et d'esquives suffisantes pour lui permettre de filer à l'anglaise que de longs combats jusqu'à ce que mort s'en suive...
Viveka est une passionnée, calme, discrète et sereine, celle qu'on oublie sans peine en un clin d'oeil. Elle sait être légère à ses heures, et l'un de ses grands amusements est de se faire constamment appeler différemment, en particulier par ses amants. Assez particulier il est vrai, mais amusant pour l'impératrice.
En tant que mère, c'est sans éxagérer que l'on peut qualifier Viveka de Maman poule. Ses cinq enfants, elle les chérit plus que tout et estime qu'ils sont la seule réussite de sa vie. En particulier, elle aime à penser qu'elle a un lien particulièrement fort avec son unique fille et cadette de la fraterie: Neola.
Ses fils quant à eux, à l'exception de Reese, n'aiment pas vraiment que leur mère déambule vêtue comme une jeune femme de vingt ans. Cela fait beaucoup de peine à Viveka qui prend assez mal leur égoïsme et leur ingratitude. Ils ne voient pas que c'est la seule chose qui la fait se sentir bien, et elle a le coeur en miette à chacune de leurs réflexions désobligeantes. Elle ne leur en tient pas rigueur cependant, parce qu'elle les aime et tant qu'on aime on pardonne.
Eternelle complexée, les sévices qu'elle est capable d'infliger à son corps pour le rendre plus parfait qu'il ne l'est n'ont aucune limite... Il y aurait encore beaucoup de choses à dire concernant la psychologie de l'Impératrice, nottamment en ce qui concerne son mari, mais j'ai bien peur que cela ne vous regarde pas, et d'en avoir déjà trop dit à son sujet...

Physique :

La moindre des choses que nous pourrions dire, physiquement parlant, de Viveka, c'est que c'est une belle femme, aisément reconnaissable et visible de loin. Il faut cependant se méfier de ce que peut signifier le mot "belle". Car oui, Viveka peut bien entrer dans la catégorie des beautés, sous maints aspects, mais elle peut également être qualifiée d'effrayante.
Elle est de ces créatures éthérées, qui lorsqu'on les aperçoit ne peuvent que nous laisser en émoi. Est elle bien réelle? Est-ce bien une femme? Est-elle cruelle, dois-je craindre pour ma vie? Autant de questions qui pourront heurter votre esprit, d'autant que Viveka n'a pas encore eu l'occasion de rencontrer qui que ce fut de face, mais fut toujours bel et bien surprise, à un moment où à un autre. Mais entrons dans le vif du sujet si vous le voulez bien.
Comme précisé un peu plus tôt, vos chances de rencontrer l'Impératrice de face étant minimes, commençons par une description de son dos. Comment? Un dos? Que peut-il bien avoir à en dire? Et bien c'est ce que nous allons voir, un peu de patience.
La première chose frappante chez Viveka, c'est la longueur de ses cheveux. Oui, car pour une impératrice, elle est pour le moins négligée. Longs jusqu'aux reins, ils ont cet air irréel si particulier qui suscite la curiosité: "Mais si c'est l'Impératrice je te dis..." "Avec cette coiffure? Les cheveux ébouriffés comme ça? Tu te moques de moi?" Et autre commentaires de ce genre sont fréquents au passage de la femme de l'Empereur. Elle-même n'y prête guère plus attention, ses cheveux étant le cadet de ses soucis (Et oui, sa coloration faite toutes les deux semaines pour masquer ses cheveux blancs est ce qui est le plus courant!). Enfin, il faut tout de même admettre que leur légèreté y est pour beaucoup aussi. Ses cheveux sont en réalité tels un voile de tulle, ou quelque tissu vaporeux, d'une couleur très intense puisque blonds mordoré, aux brillants reflets miels et cuivrés. Généralement, elle y coince un serre tête très simple, en argent, un très simple maillage lui enserrant la tête juste assez afin de retenir les mèches gênantes qui pourraient lui boucher la vue en arrière de la tête, mais elle peut aussi zapper ce détail, tout dépend en réalité de son état d'esprit. Viveka ne les supporte ni sales ni emmêlés. Quoi qu'il puisse arriver, sortie, pas sortie, sommeil ou simple déambulation, ils seront toujours parfaitement ondulés et soyeux. Ce n'est pas forcément la partie de son anatomie qu'elle affectionne le plus, et même s'ils paraissent négligés, ils sont toujours propres et sentent en toute occasion la fleur de vanille, parfum fétiche de l'Impératrice.
Bref, que dire de plus concernant l'arrière de son anatomie? Et bien pourquoi ne pas vous parler de sa tenue vestimentaire? C'est quelque chose de tout à fait particulier, comme le reste de sa personne cela dit. La plupart du temps, il s'agit de vêtements particulièrement jeunes, Viveka n'étant ni pudique ni maniérée mais nourrissant l'angoissante phobie de la ride et du corps, de la chair, qui se dégrade lentement. Certes, grâce à la chirurgie elle est excessivement bien conservée, mais ce n'est jamais assez pour elle. Il faut qu'elle soit toujours plus mince, toujours plus jolie, toujours plus adulée. Pas pour rabaisser les autres, mais pour au moins s'estimer à leur niveau. L'impératrice est une femme des plus complexées. En temps normal, elle arbore des vêtements de vie de tous les jours, jeans et tee-shirt. C'est une femme "simple". Souvent très ajustés, ses vêtements mettent en avant une poitrine ainsi que des hanches avenantes de femme accomplie, car mères de cinq enfants. Ces hanches justement, surplombent des jambes à la longueur interminable. Viveka fait environ 1m75, dont plus d'un mètre vingt de jambes. Ça fait beaucoup pour une femme. Elle est donc ce que l'on peut qualifier de "grande" femme. Malaisée dans des chaussures plates, elle ne se meut qu'exclusivement en talons hauts, des chaussures plutôt travaillées avec des ébauches de bijoux et de lacets lui remontent le long de la cheville et du mollet lorsqu'elle porte des jupes, d'une façon sensuelle, même si globalement parlant, "Sensualité" serait le mot le plus adéquat pour qualifier Viveka. Sa silhouette ultra-féminine est toute en muscles, nerveuse et souple. Une grâce féline, un petit quelque chose dans sa démarche, la rend irrésistible. Effet dû bien entendu, à son rang d'Impératrice qui l'oblige à garder la tête haute ainsi qu'à se mouvoir avec une certaine prestance. N'aurait-elle été qu'une simple plébéienne, elle aurait été gauche et maladroite. Mais bien entendu, sa filiation la préserve de si peu de chance. Bref.
Maintenant que vous connaissez les traits de son dos, nous pourrons peut-être enfin passer au plus distinctif, à savoir la partie face de son corps? Admettons.
Après l'avoir surprise de dos, vous aurez sans doute l'occasion de voir Viveka se retourner. Et là, je vous assure que ça vaut le détour. En effet, ses yeux à eux seuls valent leur pesant d'or. Pourquoi? Et bien pour tout dire, à première vue ils n'ont pourtant rien d'extraordinaire. Légèrement allongés en amande, surplombés de fins sourcils de la même couleur que ses cheveux et gardés par deux longs rideaux de cils, ils sont très féminins, mais finalement banaux. Alors quoi? Et bien c'est leur couleur qui fait tout le travail. Leur couleur? Oui, leur couleur. Pour la simple et bonne raison qu'ils sont la seule partie de l'anatomie de Viveka qui soit authentique et particulièrement belle. D'un bleu outre-mer intense, l'Impératrice peut se vanter de parvenir à capter l'attention des hommes, même des plus réfractaires, en un seul regard; avec un petit éclat lumineux particulier qui les fait briller, toujours comme si elle était sans cesse éclairée par la lune. Mais ce n'est pas tout. La particularité de ces yeux est qu'ils changent de couleur. Non pas à volonté, mais plutôt comme ceux d'une blonde aux yeux bleus. Si le temps vire au gris, les yeux de Viveka imiteront le ciel. Idem sous le coup d'une émotion intense. S'il vous arrive de passer suffisamment de temps en compagnie de Viveka, un seul coup d'œil à la couleur de ses yeux vous permettra de lire en elle comme dans un livre, mais avant d'en arriver là, c'est un long pèlerinage qui vous attend, aussi elle ne se verra pas vexée de vous voir renoncer avant d'avoir atteint ce stade.
Sous ses yeux, une fois que vous aurez pu en détacher les vôtres avant d'avoir mal à la tête, vous pourrez constater que son nez est droit et fin, ses traits délicats, ses pommettes hautes et saillantes, sa bouche agréablement charnue, ses lèvres d'un beau rouge lit de vin, renfermant trente deux petites perles blanches parfaitement alignées, tout cela au cœur d'un visage de forme ovale et au teint comparable à celui laiteux des aristocrates de l'Est ancien de la terre, et accentué de par sa condition d'aristocrate (qui ne voit jamais le soleil, quoique dans un vaisseau pareil tout le monde ou presque peut en dire autant j'imagine?). Les gênes peut-être, allez-savoir. Toujours est-il que ce trait caractéristique lui vaudrait presque l'anonymat dans la société de la plèbe. Presque.
Sa beauté, aussi étrange que pourrait l'être celle d'une araignée, la rend effrayante, même pour ceux de sa propre caste, avec ses longs doigts fins terminés par des ongles parfaitement manucurés à la française. Forte de sa renommée et du pouvoir dont elle jouit auprès de son mari, elle incarne le mystère au féminin, auquel elle allie la grâce bestiale d'une femme sachant parfaitement ce qu'elle désire et ce qui est bon pour elle.

Tranche de vie :

Le jour... Ou plutôt un semblant de jour filtra à travers les paupières de l'Impératrice, ce qui signifiait qu'il était l'heure qu'elle se lève, et que les domestiques ne tarderaient pas à entrer dans sa chambre. Signe aussi qu'il était très tôt le matin. Elle se demandait parfois ce qui se passerait s'ils débarquaient sur une planète qui n'avait pas le même cycle, de 24 heures, qu'eux et leurs ancêtres et où le jour par exemple durait l'équivalent de trois jours... Après cette nuit perpétuelle où ils étaient tous tenus, ou presque, éclairés avec de la lumière synthétique, Viveka ne déprécierait pas une telle alternative... Quoique l'éclairage artificiel lui allait très bien aussi, il n'altérait que peu sa peau, faisant apparaître aussi peu de rides que possible sur le visage d'apparente jeunesse que l'Impératrice s'efforçait de conserver. Enfin bref, "le soleil" est levé, c'est l'heure qu'elle se tire du lit.
Tout cela était bien beau, sauf que Viveka n'était pas dans son lit. Alors où était-elle? Dans le lit d'un autre? Comme vous y allez... Et avec vous, les bruits courent. Sans jambes qui plus est, puisqu'ils se répandent plus vite qu'une traînée de poudre. Or, on ne peut porter préjudice à la réputation de Viveka sans en faire les frais, vous l'apprendrez bien assez tôt. Donc même si elle s'envoyait les trois quarts, voire la totalité de la gente masculine de tous les vaisseaux confondus, jamais un mot n'en filtrerait. De toutes façons, la quadragénaire ne prendrait pas le risque de jeter le discrédit sur son mari... Leur survie à eux, ainsi qu'à leur incongrue progéniture en dépendait.
Bref, revenons-en à Viveka, puisque c'est elle qui nous intéresse pour l'heure. Plus que deux minutes avant que les domestiques n'entrent dans sa chambre et ne trouvent son lit vide. Ou pas d'ailleurs. Puisque gracieusement, elle décolla l'une de ses longues jambes du mur pour venir la faire se reposer sur le sol. Peu après, l'autre suivit, et de la position du poirier Viveka en revint à la position debout. Elle s'étira, fit craquer les os de son cou et ceux de ses doigts et, fraîche et dispo, elle... Retourna se coucher.
A cet instant du récit, il est bon, je crois, de préciser que Viveka est une talentueuse, pour ne pas dire accomplie Yogini. En effet, depuis des années elle pratique le yoga à haut niveau, ce qui lui a permis au cours des ans non seulement de développer une agilité ainsi qu'une souplesse étonnante, mais aussi à canaliser ses sentiments et lui permettre d'afficher en toutes circonstances ce visage social et détendu qui lui avait valu la considération de tous, et ce même sous le flot de remarques, souvent désagréables, dont la gratifiait son mari, ce cher Nicholas. Or, de cela, personne n'était au courant, pas même ses enfants. Pourquoi, me demanderez-vous, cacher une activité si innocente? Et bien c'est simple. Pour le plaisir, tout simplement. Le plaisir d'avoir un secret, quelque chose à elle que personne ne connaîtrait et dont on ne la soupçonnerait même pas. Frustrée par sa vie, Viveka n'avait guère plus que ce genre de petits détails pour se sentir exister plutôt que vivre. Elle n'était pas prêtre à les sacrifier. C'est pour cela qu'elle gardait jalousement ces petits détails de sa vie privée. Chacun ses hobbies comme qui dirait. Bref, sa séance de méditation étant terminée, puisqu'elle avait toujours lieu avant l'heure de son soit-disant levé, Viveka retourna se glisser entre ses draps, sur le ventre, prenant son oreiller dans ses bras, et à peine quelques secondes après qu'elle fut installée, la porte de sa chambre s'ouvrit doucement alors qu'une demi-douzaine de domestiques entraient.
L'une s'occupa d'aller ouvrir les rideaux, l'autre disposa sur une table son petit déjeuner, les autres ramassèrent le linge que l'Impératrice avait laissé traîner n'importe où, etc. Enfin, la dernière s'approcha du lit et s'adressa à Viveka, qui ne dormait pas mais feignait de le faire, de sa voix la plus douce.

"Altesse... Vous êtes attendue..."

Alors, comme toujours depuis des années, Viveka se retournait sur le ventre, s'étirait avec flemme en baillant ouvertement, dans l'attitude parfaite de celle qui vient de se sortir d'un long sommeil réparateur. Et comme toujours depuis des années, ses pauvres domestiques ne voyait pas qu'elle jouait la comédie. Alors de bonne humeur, car du fait qu'elle faisait sa méditation du matin tous les jours, Viveka n'était jamais grognon ou mal embouchée quand on venait la "réveiller". Elle n'envoyait donc jamais balader personne, c'était toujours cela de pris pour celles qui travaillaient pour elle que de ne jamais se faire enguirlander. Ou très rarement.
Guillerette même, Viveka sauta dans un peignoir et alla s'attabler en disant bonjour à toutes ces femmes avec entrain. Comme chaque matin, ces femmes s'invitèrent à la table de Viveka, après qu'elle les y eut invitées, et elles petit-déjeunèrent toutes ensemble en parlant chiffons et autres. Il n'y avait qu'une seule consigne à laquelle l'Impératrice tenait particulièrement: aucune remarque, positive ou négative, sur son aspect. Elle ne tenait pas à se voir encore plus complexée qu'elle ne l'était déjà, son moulin tournait très bien il n'avait pas besoin qu'on lui ajoute de l'eau. Et comme, au delà du fait que la quadragénaire était sociable et enjouée, donc naturellement bien vue, les femmes ne tenaient pas à perdre leur travail. Car objectivement, il y avait vraiment pire comme travail, surtout en technicienne de surface, que de bosser pour quelqu'un qui était loin d'être désagréable.
Mais bon, ça n'était pas le tout, et Viveka avait du pain sur la planche. Raison pour laquelle elle écourta le repas du matin, s'empressa de s'habiller, pour qu'on la maquille, qu'on la coiffe et qu'on la parfume, et enfin... Elle put sortir.

"Alyo Imperian... Me voilà..."

{ ORIENTATION POLITIQUE :
Vous intéressez-vous à la politique ? Oui [X] _ Non [X]
Êtes-vous pour ou contre l'Empereur ? Pour [] _ Contre [] _ Neutre [X]


{ Et vous ~
Code du règlement :
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Code du guide du joueur :
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