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 Ryomo Kikiko

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Ryomo Kikiko

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MessageSujet: Ryomo Kikiko   Ryomo Kikiko EmptyVen 18 Fév - 22:53

Dossier du matricule 02X0615-3026 :

1. Informations personnelles :

  • Nom : Ryomo
  • Prénom : Kikiko
  • Sexe : Féminin
  • Âge : 30 ans
  • Date de naissance : 15 juin 3026
  • Lieu de vie : Raimyo, DownTown
  • Loge : Pooja
  • Métier : Mécanicienne
  • Lieu de travail : Basha

2. Rapport psychologique :

  1. Première entrevue avec le matricule 02X0615-3026 : Dès son arrivée, le matricule 02X0615-3026 a posée ses conditions : « Je ne vous sers pas la main, je ne vois pas pourquoi je suis ici et je ne vous apprécie pas, vous et vos collèges. Ensuite, je veux, pour continuer cette conversation avec vous, que l'on me rende mes piercings. » Après avoir placé tous les morceaux de métaux, je lui posai quelques questions de sorte à comprendre ses nombreux débordements : « Vous savez pertinemment que je ne vais pas être sincère avec vous, alors, pourquoi me poser tant de questions ? » Ayant l'habitude de ce genre de patients, je continue la consultation d'une heure. Elle ne répondit pas aux questions et attendit en silence le dernier quart d'heure pour me dire : « Les psychiatres... Je suis ici parce que j'ai agressé, sans preuves aucunes, une personne. Une personne qui, soit dit en passant, m'a attaquée alors que je me promenais en rue, comme chaque matin. La personne a porté plainte contre moi et lorsque les agents sont venus me chercher, je me suis laissée faire. Ils n'ont pas jugé nécessaire de me placer en prison et m'ont conduite ici. Maintenant, je dois supporter ces vêtements atroces et m'entretenir avec vous. J'aurais cent fois préférés me retrouver dans une cellule en compagnie d'une tueuse ou n'importe qui... Leur compagnie m'aurait été plus agréable. » Elle s'est levée et est sortie de la pièce sans me saluer. Je réfléchis donc à une autre technique d'approche.
  2. Deuxième entrevue avec le matricule 02X0615-3026 : Le lendemain, je renouvelais l'expérience. Elle entra dans la pièce avec des marques de griffes aux visages. Je profitai donc de ce détail pour entamer une discussion avec elle : « C'est une de vos malades.. Elle m'a sauté dessus au diner parce que je refusais de lui donner mon dessert. Vous savez que c'est le seul aliment comestible du plateau de déchets que l'on nous sert ici ? Non évidemment, vous vous mangez au restaurant avec vos collègues les infirmières. En parlant de ça, elles pensent vraiment qu'ils prennent tous leur traitement ? Franchement, comment peuvent-ils être agressif s'ils reçoivent des sédatifs ? » Elle ne me parla pas d'elle ce jour-là, simplement des disfonctionnements de notre établissement, de la mauvaise odeur des pièces à vivre ainsi que de l'inconfortabilité des lits. « Vous n'avez pas de femme d'entretiens ici ? Il y a l'homme, aux couches, qui se soulage tous les jours devant la télévision, on voit sa place au sol pour finir. Sans parler des lieux d'aisance. Erk. » La sonnerie de la minuterie posée sur mon bureau retentit, elle stoppa net de me parler se leva et sortit. Je compris alors qu'il allait être vraiment difficile pour moi de mettre un nom sur ses problèmes.
  3. Troisième entrevue avec le matricule 02X0615-3026 : Le troisième jour, j'allai l'a voir au diner. Je pris un plateau identique au sien et m'installa en face d'elle à table. Elle avait pris du poisson, des haricots et de la purée. En dessert, elle avait choisi une macédoine de fruits. Je compris enfin ce qu'elle me disait le jour avant sur la nourriture. « Vous allez vraiment manger ici ? Et ça surtout ? Votre estomac ne suivra pas... Je vous le jure. » Je pris une bouchée de poisson et l'avala en grimaçant. Je l'a vit sourire pour la première fois. « Vous voyez, c'est infecte.. Hé Polo ! Vient un peu... Je te donne mon poisson et tu me donnes ta pomme ? Merci Polo. Il adore le poisson, vous voyez. Et moi, j'échange un truc immangeable contre une pomme. » Elle n'était là que depuis trois jours mais, elle avait pris le temps d'observer les habitudes de chacun pour les tourner à son avantage. « Par contre, les haricots.. Ca, c'est autre chose. » Elle met tout dans mon plateau et prend mon dessert. Je l'a regardais faire sans ne rien dire. Elle mange puis s'en va en silence. Elle avait une longueur d'avance sur moi depuis le début.
  4. Quatrième entrevue avec le matricule 02X0615-3026 : Dernier jour dans le centre. Cette fois je l'a rencontrais dans sa chambre. Je lui rendis ses vêtements assez étranges et la laissa se changer. Je revins dans la chambre et la vis faire son sac. Sans même me regarder elle dit : « Vous savez que je ne vais pas du tout vous regretter, docteur. Je suis contente de quitter cette maison de fou. Mais bon.. Mon estomac ne supporterait pas un jour de plus ici. Voilà, au revoir docteur.. Et à jamais. » Elle vint vers moi et me serra la main avant de sortir de la pièce, je lui demandai si elle avait prévu tout ce qu'il venait de se passer ses derniers jours. Elle me regarda dans les yeux et me sourit : « C'est à vous de me le dire docteur... Vous êtes le spécialiste, n'est-ce pas ? » Jamais dans ma carrière je n'avais rencontré pareil patiente. Pourtant, sur 40 ans de métier, on en voit des choses.
  5. Rapport : Il est certain que Ryomo Kikiko présente des troubles émotionnels. La nature de ceux-ci reste cependant inconnue de nos services. Rien en cette jeune femme n'indique une prédisposition à la violence. Je crains ne rien pouvoir faire pour l'aider de ce côté. Elle n'a pas été très coopérative avec les services dont je suis le directeur. Mise à part les renseignements mentionnés dans son dossier, elle ne m'a rien dévoilé sur sa famille ou son passé. Ses troubles pourraient, éventuellement, venir de l'attitude d'un de ses parents à son égard. Kikiko est cependant apte à travailler et est en réalité un très bon élément. Son sens de l'observation peut être un atout pour une équipe de travail, ainsi que son excellente forme physique. Elle semble avoir une capacité d'adaptation hors du commun, chose qui prime sur ses sautes d'humeurs violents.

3. Rapport médical :


  • Taille : 180 cm
  • Poids : 68 kg => 85% de masse non grasse
  • Groupe sanguin : O négatif
  • Maladies détectées : OUI - NON => Nom et traitements : //
  • Incapacités physique : OUI - NON => Temporaire-permanente et traitements : //
  • Condition physique : Parfaite => Altères : 0 à 80 kg ; Course à pieds : 10 km en 30 minutes (moyenne calculée sur une journée d'effort)
  • Remarques : Le matricule 02X0615-3026 est apte à travailler

4. Interviews de proches : Le changement d'apparence de Kikiko.

  • La mère du matricule 02X0615-3026, Yume Han : « Enfant, ma fille était très calme. Je lui achetais tout ce qu'elle voulait. Elle aimait beaucoup les jupes et les robes. Elle était une vraie petite princesse fière de portée les nouvelles robes à la mode devant ses copines de classe. À l'adolescence, elle refusait catégoriquement d'en porter. Je me souviens de ce qu'elle me disait : "Non mais quoi encore ? Ça craint trop tes trucs là.." Ça devait être la crise d'adolescence. Malheureusement, ça n'était pas ça. Elle revint un jour les oreilles percées, puis, à ses seize ans elle revint avec la lèvre percée. Mon mari n'appréciait pas ça du tout, il voyait ça d'un mauvais oeil. Après, il y a eu les tatouages... D'abord, sur la poitrine, je ne dis rien à mon mari. Ensuite, sur le ventre et sur les bras. Je n'osai rien dire non plus. Mais un jour elle revint à la maison avec les cheveux coupés cours et le visage tatoué. Mon mari apprit l'existence de tous les tatouages ce jour-là. Il était furieux sur elle comme jamais. Il lui dit des choses atroces... Il alla trop loin. Elle sortit de la maison et revint deux heures plus tard la tête totalement rasée. Ses beaux cheveux blonds. Elle fit ses valises et partit s'installer chez son amie Kurumi. Elle n'avait que 17 ans. »
  • Le père, Jin Ryomo : « Ma fille ? Elle a bien changé, vous savez. Elle est passée de la petite fille parfaite au monstre de foire. Ca vous choque ? Imaginez ce que j'ai ressentis en tant que père. Elle s'est mise à porter des vêtements masculins. Rien de bien grave. Des vestes déchirées, des jeans usés... Puis elle s'est faite percée, partout ! Son si joli visage entaché de piercings. Je me suis dit : "Ce n'est rien ça va passer, elle veut montrer son indépendance. Puis des piercings, on peul les enlever." Je m'accrochais à cette idée du : Non-permanent. Mais un jour, j'étais tranquillement à table avec ma femme, elle revint avec le visage tatoué et les cheveux coupés court. Un tatouage... Quelque chose qu'elle devra porter toute sa vie. Ce n'est bon que pour les motards ou les ex-taulardes... J'appris qu'elle en avait aussi sur le corps. Des choses immondes souillant le corps à la peau blanche de ma fille. Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase, comme on dit. Je ne pouvais plus me retenir, tout ce que j'avais sur le coeur sortit. Un peu trop même. Il faut savoir que ma fille était en couple avec une autre fille. Kurumi. Je n'acceptais pas ce genre de choses et je lui dis, ce jour-là, sans délicatesse. Elle se rasa les cheveux et nous quitta pour vivre avec sa copine. Je m'en veux un peu... Avec le temps je me dis que si elle était heureuse ainsi j'aurais dû m'en contenter. L'erreur est humaine mais, le pardon vient de Dieu »
  • La première petite amie, Kurumi Osaka : « Vous savez, moi, j'ai toujours connu Kikiko comme cela. Je l'a trouvais belle, sexy, mystérieuse.. Presque insaisissable. Je pense toujours ça d'elle de toute façon. Mais bon là n'est pas le sujet. Ses tatouages et ses piercings lui donnaient une identité propre, hors du commun. Elle a toujours été fière de ses parures, comme elle appelait ça. Elle ne regrettait rien de ce qu'elle avait fait. Mais pas la fois qu'elle s'est rasée totalement la tête à cause de son père. Elle s'est beaucoup plus assumée une fois installée chez moi. Ne portant que des vêtements laissant voir ses tatouages. Je n'ai jamais été contre, que du contraire. Nous nous aimions vraiment, je ne sais pas pourquoi l'on s'est séparée... Une erreur de jeunesse certainement. Aujourd'hui je ne sais pas trop à quoi elle ressemble... Cela doit faire plus de 8 ans que je ne l'ai plus revue. Une chose est sur cependant, elle doit être belle du haut de ses 30 ans.



5. Son enfance :

Je suis née le 15 juin 3026. Mes parents faisaient partie de la loge Pooja, mon père était mécanicien et ma mère femme au foyer. Mon enfance fut heureuse en bien des choses. Mes parents me donnait tout ce dont j'avais besoin et jamais ils n'eurent un geste contraire. J'étais une princesse. Mes parents n'eurent pas d'autre enfant. Mon père voulait un garçon pour honorer la tradition familiale : « Tout comme tes ancêtres, tu seras mécanicien. » Ce n'est pas pour autant qu'il me rejeta. Un lien fort s'installa entre lui et moi, plus qu'avec ma mère.
Un jour, j'allai avec lui travailler. Je fut automatiquement passionnée pour ce métier. Même si j'avais des airs de princesse, j'aimais me salir. Il m'apprit les bases surement en pensant qu'ainsi la tradition ne se perdait pas tout à fait. Je fis toute mes années St-Adrian's. Déjà lors de mon premier cycle on vit que j'avais une plus grandes attirance pour le sport. Tout ce passa sans embuche. J'arrivai tranquillement, dans le bonheur, à mes 11 ans.

6. Son adolescence et sa vie adulte:

Jusqu'à mes 13 ans, j'acceptai ce que voulait ma mère. Puis, je me tournai vers ce que j'aimais. Rien ne me plaisait plus vraiment à l'école. Je me démarquais en sport et dans les branches techniques et artistiques. J'allai tout de même au bout de mes études. Ma vie n'était plus aussi rose. Je vivais chez Kurumi, ma première petite amie, mon premier grand amour. Sans le consentement de mon père. Je devais avoir 17 ans quand j'ai quitté la maison familiale. J'étais heureuse avec elle malgré tout. Son père était très riche et elle vivait seul dans un appartement depuis l'âge de 15 ans. Elle n'avait pour ainsi dire quasiment jamais connu ses parents, contrairement à moi.
Une fois mon diplôme en main, je ne savais pas du tout quoi faire. Kurumi me donna un peu d'argent pour créer ma petite entreprise. Je travaillais dur pour qu'elle décolle. Elle prit de l'ampleur, plus que je n'espérais. C'était seulement un petit garage avec une ou deux personnes travaillant pour moi. Je ne voulais pas trop agrandir. J'avais trop peur de tout perdre. Après un ou deux ans, je rendis tout l'argent que je devais à Kurumi. Cela devait faire huit ans que j'étais avec elle.
Malheureusement, on se sépara peu de temps après. Je vendis tout ce que j'avais et je partis. Je ne savais pas trop quoi faire. Je travaillais par-ci, par là. Je vivais au jour le jour, économisant pour me payer petite maison. Je bataillai, comme ça, pendant quatre ans avant de pouvoir m'installer chez moi pour de bon. Je trouvai un emploi stable et m'y attachai.

7. Sa formation :

Comme je vous l'ai déjà dit, c'est mon père qui m'a transmit le goût pour la mécanique et les techniques en général. Je savais les bases, grâce à lui, quand j'ai commencé à travailler. Sans l'aide de personne, j'ai appris et me suis perfectionnée. J'ai lu des livres, posé des questions, regardé faire. Mais ce n'était pas vraiment de moi, alors je me suis forgée une technique qui m'est propre. Ma formation ne me permettait que d'installer, de remplacer ou d'entretenir des pièces déjà existantes. Je me contentais, sans me poser plus de questions, de faire comme les autres.
Après mon passage à vide, la période durant laquelle j'enchaînai petits boulots sur petits boulots, je créai. J'avais récupéré une vielle moto et je m'amusais à créer des pièces pour la remettre au goût du jour. Mon diplôme me servit, enfin, lors de la création de la carcasse. Je me dis alors que j'avais bien fait d'être appliquée au cours d'art plastique. Évidemment, je ne disais rien à personne. Je n'avais pas très envie que les gens s'approprient mon travail et en récolte le mérite. On me demandait souvent le nom de la personne qui avait modifié mon véhicule, je me contentais de répondre : « Je n'en sais rien, je l'ai acheté dans cet état sans me demander mais, je vais faire des recherches. » Mes employeurs avaient droit au même discours.
Cependant, après quelque temps, je me dis qu'il serait peut-être plus profitable de dévoiler mes « secrets » de création. Le mieux serait d'ouvrir un garage et d'utiliser mes pièces. Pour cela il faut des moyens. Et ces moyens, je ne les ai pas pour le moment. J'attends, sagement, un jour le nom de Ryomo sera connu dans le milieu. Il l'est déjà, mais pas pour des années encore. Shakespeare disait : « Si faire était aussi aisé que savoir ce qu'il est bon de faire, les chapelles seraient des églises et les chaumières des pauvres gens des palais de princes. »

Hors RP :
Expérience de RP : J'ai pas mal écris mais pas sur un forum de cette envergure. C'est donc ma première vrai expérience...
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Avez-vous été pris en charge ? Oui [X] ou Non [ ] (Merci à Natalia)


Dernière édition par Ryomo Kikiko le Mar 22 Fév - 22:51, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Ryomo Kikiko   Ryomo Kikiko EmptyLun 21 Fév - 23:33

Sacré caractère Kimiko ! Sa relation avec son père est intéressante (tout comme le côté entretien) et le contraste princesse / futur mécano s'avère sympa. On jongle avec deux univers jusqu'à un point de rupture. Par contre, j'ai trouvé que sa franchise à l'intention du psy ressemblait presque à une attaque, comme si elle cherchait à se protéger d'emblée :o.  Ça incite à vouloir davantage comprendre ses problèmes et leur provenance. Et puis elle a une facette sans-gêne aussi XD ! Elle a l'air aussi débrouillard donc je suis sûre qu'elle trouvera comment financer sa future entreprise :).

Attention à quelques fautes ici et là et à "collèges" au lieu de "collègues" ;).
Rien ne me semble détonner, aloooors

VALIDÉ

Je t'ai envoyé par mp quelque chose qui pourrait intéresser ton personnage :).
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MessageSujet: Re: Ryomo Kikiko   Ryomo Kikiko EmptyMar 22 Fév - 22:17

Merci beaucoup. (Ce n'est pas un reproche mais c'est Kikiko)
Petite explication : Kikiko ne supporte pas la police ou tout service se rapprochant des autoritées. Elle fait déjà beaucoup d'effort avec ses employeurs. Quant aux troubles de cette jeune femme... Et bien, il vous suffira de la suivre Ryomo Kikiko 252511
Il faut savoir se faire désirer et ne pas trop dévoiler...

Merci aussi pour le mp.. C'est en effet quelque chose de très interessant, Kikiko va s'en doute s'en donner à coeur joie.
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