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 Hanna Ritter

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Hanna Ritter

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Hanna Ritter
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Hanna Ritter Vide
MessageSujet: Hanna Ritter   Hanna Ritter EmptyDim 21 Nov - 2:45

+ Hanna Ritter - Psycho Girl


Hanna Ritter 2r6lcoj
    NOM - Ritter.
    PRENOM – Hanna.
    NOM PAR LEQUEL ELLE EST APPELÉE – Chef ou Némésis.
    AGE – 31 ans.
    RACE – Techno-sapiens (jambe gauche cybernétique).

    METIER – Dirigeante d’un réseau criminel (anarchiste / producteur de drogue technologique) et accessoirement réparatrice en cybernétique.
    SITUATION – Libertine : « Le sexe est une drogue. J’ai mes périodes de shoot et d’abstinence. ».
    MOTIF DU SÉJOUR – Établissement de son réseau dans l’Uros, afin d’avoir le monopole avec sa drogue du Xion et plus si affinités.
    LIEU DE SÉJOUR – Décombres de Raimyo, dans un centre de stockage désaffecté.
    PROVENANCE – Xion.

+ Dossier ...

... médical et psychologique.

« Un bruit sourd emplissait ma tête tandis que les multiples visions du monde qui se présentaient à moi dans un flou artistique me laissaient entrevoir des planètes rouges accompagnées de satellites de métal. Je vis l’enseigne d’une multinationale me tendre ses bras, le dernier sourire d’une femme apparaitre sur ma banquette arrière et les derniers restes de ma jambe gauche s’enfuir par mon pare brise, tel un film d’action au ralenti, tandis que mon cerveau jouait aux auto-tamponneuses et que mon corps se mouvait au rythme des pas de danse de l’obus qui me servait de voiture. Puis arrivait le moment fatidique, annoncé par un écran noir, celui où on se disait qu’on avait payé pour ça et qu’on allait devoir faire avec. A la sortie du cinéma, un torrent de lumière nous envahissait et nous réveillait, quelque chose avait changé en nous c’était certains, psychiquement, physiquement, ou les deux. On accouru à mon réveil, tandis que la jeune femme allait dans la pièce d’à côté en souriant, elle m’avait laissé son adresse. On me dit de rester tranquille, mais je me levais quand même, ma jambe gauche était plus lourde que d’habitude, normal me disait-on, je me rappelais l’avoir vu voler à mes côtés, tandis qu’on me disait que j’en avais une nouvelle toute brillante. Je me rendormis.
A mon réveil, je pu enfin me lever et demander où était passée l’autre, mais quelle autre me répondit-on ? Mais l’autre femme. Ils se mirent à rire et je partie. Quand je retournais Route 28, une pme remplaçait mon immeuble. Instinctivement, je me rendis au numéro 8 de Paper street, c’était à l’autre bout de la ville, au fond d’une ruelle laissée à l’abandon. Sur le papier, il y avait aussi marqué 4ème étage. Je franchissais les étages, constatant à chaque palier que les appartements étaient déserts. Etrangement, il n’y avait pas de portes au 3ème étage, tout était muré. Il était tard et seule la lueur du ciel éclairait les marches, jusqu’à ce que j’arrive au 4ème. Le couloir donnait sur une seule porte où je toquais. La femme m’ouvrit, habillée en petite nuisette, tandis qu’un homme que je connaissais me saluait d’un air béat en entrant pendant que je le regardais d’un air intrigué. La femme me dit qu’elle devinait pourquoi j’étais venue et m’indiqua une pièce où je pouvais dormir. Auparavant, je vivais dans un endroit propre sur une grande route aux embranchements multiples. A présent, je vivais dans un taudis au fond d’une voie sans issue. Je restais un moment seul sur le vieux matelas avant d’aller à la salle de bain pour me changer les idées, mais l’eau peinait à gravir les étages et avoir assez d’eau pour se laver la figure représentait un challenge. Je me disais alors que j’avais toujours voulu être quelqu’un, mais que j’aurais dû être plus précise. Puis je dormis.
Némésis, c’était ainsi que la femme s’appelait, avait un job de nuit, ainsi, je dormais tranquillement jusqu’à ce que ses ébats ne me réveillent au petit matin. Ici, on avait l’impression d’être dans cet ancien monde où tout se faisait à la main, c’était un retour aux sources et je me rendis compte que c’était lorsqu’on avait tout perdu que l’on était libre de faire tout ce que l’on voulait. Un soir, alors que je venais de passer une nouvelle journée à étudier les possibilités que me procuraient ma jambe de métal, Némésis m’intégra dans ses activités douteuses en me faisant découvrir une partie complètement inconnue de sa vie. A vrai dire, depuis que j’avais emménagé par la force des choses, je n’avais circulé qu’entre ma chambre, la cuisine, la salle de bain et les chiottes. Certes, il y avait d’autres portes, mais je n’y étais jamais allé, j’avais une seule fois seulement regardé, par curiosité, Némésis en plein rodéo matinal. Voilà que j’entrais dans un nouveau monde, enfin pas tout à fait, puisqu’autrefois je travaillais pour un bureau de soutient aux cancéreux alors que j’avais fais des études en cybernétique. Après une porte, quelques marches, un petit couloir et une solide porte, je découvris un grand jardin d’intérieur, composé d’une plante que je connaissais, car elle n’était autre que la drogue à la mode dans le Xion. Némésis me dit de faire comme ci, comme ça, d’utiliser cela, puis de le mettre dans ceci et qu’avec le résultat on pouvait se faire plein de sous. Puis je sortie en sa compagnie. Je ne me rappelais plus très bien de ce qui s’était passé ensuite, mais deux jours plus tard, quatre hommes habitaient dans notre immeuble. Némésis m’avait, par je ne sais quelle magie, absorbée dans ses vices et je tombais plus bas que terre, participant à des rodéos sauvages dans le salon du 4ème étage. Je me rendis également compte que je fumais de la drogue douce faite maison, mais étrangement, je savourais ces moments de perdition.
Les mois passèrent, tandis que mon corps se lia d’une amitié forte avec la drogue et l’alcool, et que le nombre de pensionnaire augmentait, cependant je ne saisissais pas tout, je prenais les choses à l’instant présent, sans me soucier du passé ou du futur. L’immeuble comptait à présent vingt quatre pensionnaires, nous comprises. Le taudis avait à présent meilleur mine, l’entrée était surveillée en permanence par quelqu’un, les appartements étaient occupés, la vie grouillai et, la voie sans issue était propre et bordée de petites plantations légales. Depuis la première fois de ma vie, des gens m’appelaient chef. Les recrues étaient surtout attirées par le fait de pouvoir consommer gratuitement de la drogue à volonté, car une femme était seulement une femme, mais une bonne drogue était tout un arôme et cela suffisait à leur faire oublier qu’on gagnait le quadruple de leur paye. En visite rapide du propriétaire, le rez-de chaussé était réservé à la consommation sur place de certains clients, à leur réception, au logement des gardes et au contrôle des entrées. Le 1er et le 2ème étage, eux, servaient à loger toute la populace, tandis que le 3ème était celui où se trouvait les plantations de drogues et leur ‘centre’ de traitement, accessibles par un escalier de l’appartement du 4ème qui était alors le logement de Némésis et moi. Je constatais que mon corps s’était endurci et j’avais la sensation de faire quelque chose d’utile à la société.
Les années passèrent et notre effectif n’augmenta que de trois individus, l’immeuble étant complet, alors que l’argent, lui, coulait à flots. J’appris à oublier le traumatisme de ma jambe de métal et à m’en servir à mon avantage et pu apprendre ce que nos pensionnaires pensaient de moi par le biais de Némésis. J’étais décrite telle une femme fatale, aux mœurs dépravées, mais cela était dit comme compliment et à vrai dire cela me plaisait. Cependant, nous n’étions pas les seuls, au Xion, à fournir de la drogue dernière génération, c’était pourquoi nous décidâmes, après avoir appris que nous pouvions migrer sur l’Uros, de partir sur ce dernier. Nous étions bien décidées à guérir les gens de la réalité, béquille de ceux qui ne supportaient pas les drogues et tout le monde savait que nous étions plus chastes des oreilles que de tout le reste du corps.
En quelques années, j’étais passé de l’étudiante en cybernétique brune et un peu rebelle, à une délinquante aux cheveux teints en blanc et dépravée, le noir étant devenu la couleur de mes lèvres et la peau de mon corps svelte volontairement non bronzée. Némésis, elle, n’avait pas changée d’un pouce. » - Extrait des mémoires de Hanna Ritter.



Son arrivée sur l'Uros.

Elle se levait tandis que le jour venait de se coucher. Un coup de noir à lèvres, un kimono noir et la voilà partie pour une nuit d’action. Hanna Ritter s’était dédoublée dans un désir de pouvoir et de liberté, pour se sentir mieux dans sa peau, suite à sa brutale confrontation avec la réalité, mais à son insu. Chaque assoupissement, plus ou moins long, était une renaissance, l’apparition d’un esprit nouveau dans un corps amené à maturité. Alors qu’elle pensait dormir, elle vivait d’une façon plus vive que jamais. Némésis avait d’ailleurs signalé qu’Hanna devait oublier ce qu’elle savait d’elle-même, afin de continuer à évoluer. Elle s’était docilement écoutée, se faisant entièrement confiance.
C’était le lendemain soir d’une journée pas comme les autres, le Xion s’était connecté à l’Uros et Némésis avait rassemblé tout le monde pour superviser un déménagement dans de nouveaux locaux, loin de la technocratie, dans l’autre vaisseau. Les membres du réseau n’étaient plus attachés à leur famille, car Némésis leur avait ancré dans la tête qu’on était libre qu’une fois qu’on avait tout perdu, même son prénom et son nom, un changement de logement ne posait donc aucun problème.
Toutes les plantations étaient récoltées en vitesse, tous les meubles étaient chargés dans les véhicules plus nombreux qu’Hanna ne le pensait, tous les lieux étaient vidés jusqu’au moindre objet, à l’exception de quelques petites choses que Némésis comptait récupérer plus tard, tous les moteurs se mirent à vrombir et tous le véhicules se dirigèrent en file indienne vers le sas d’accès de l’Uros. Il devait y avoir deux fourgons, trois voitures et huit motos.
Les véhicules passèrent les contrôles sans soucis, la politique d’immigration était en leur faveur et ils auraient certainement pu faire passer une bombe sans problèmes. La troupe se dirigea vers les décombres du vaisseau en une nuée compacte, tel des frelons allant aménager leur nid. Ils arrivèrent à l’aube dans une petite cour protégée par une enceinte en métal et béton armé équipée de fils barbelés. C’était autrefois un entrepôt sécurisé qui était désaffecté jusqu’à ce jour et qui se situait dans les décombres. Némésis s’était renseigné et cette zone semblait être le repaire idéal pour tout trafiquant ou magouilleur. L’établissement était à proximité de quelques taudis, mais cela ne posait pas de problèmes, au contraire, cela dissuaderait d’éventuelles attaques du gouvernement.
Le réseau électrique était déjà en place, en effet, Némésis avait pris soin de prévoir des effectifs qu’Hanna n’avait jamais vus, car elle préférait agir vite et bien. Il y avait également l’eau courante et les bâtiments étaient à peu près en bon état bien que des métaux aient rouillé. Un grand portail rouillé constituait la seule entrée, puis, sur la droite se trouvait les bâtiments administratifs convertis quartier général et centre de traitement des herbes, tandis que sur la gauche se trouvait l’entrepôt abritant des plantations. Des armes issues de la contrebande étaient également stockées dans des petites pièces du bâtiment administratif tandis que les stocks de drogues étaient gardés bien en sécurité dans le sous-sol avec une quantité non négligeable d’explosifs. Autant garder les choses précieuses ensemble.
Sur la place face aux deux bâtiments, les hommes s’affairaient à amener le matériel à l’intérieur.
Manifestement, les affaires marchaient pour le mieux, il y avait trente quatre personnes, uniquement des hommes, car le pire ennemi de la femme était la femme. Il y avait trois fourgons, neuf voitures et six motos, le but premier étant de faire des livraisons rapides et efficaces.
Mais la vente de drogue n’était plus qu’un moyen de se faire beaucoup d’argent, car Némésis comptait profiter des rebelles qui étaient soi-disant puissant dans le vaisseau pour agir dans l’ombre en faisant croire que ses actions étaient réalisées par eux. Ainsi, elle avait investit dans de l’armement et de l’équipement de combat, prévoyant de bousculer les choses.
Némésis s’assura que les opérations se déroulaient pour le mieux, puis elle retourna en voiture à l’ancien repaire avec un homme pour aller chercher le reste des affaires, mais fatigué par la soirée, elle installa de quoi dormir tout en prévenant l’homme de main qui était avec elle qu’il avait pour ordre d’être levé avant que le soleil de ne soit levé et d’aller mettre les objets qui restaient dans le coffre de la voiture avec laquelle ils étaient venus. Puis elle s’endormit…

« Némésis s’était chargée de tout tandis que je dormais, du jour au lendemain, les locaux étaient devenus désertiques, il n’y avait plus que Némésis, un de nos plus fidèle homme de main et moi. Tout était déjà dans la voiture, ils n’attendaient plus que moi pour partir vers le nouveau repaire qu’elle avait déniché. Je me mettais au volant tandis que les seuls paroles prononcées dans la voiture se limitaient aux indications pour la route.
Le trajet et les contrôleurs du sas me paraissaient étrangement familiers et je mettais cela sur le compte du fait que je fréquentais beaucoup de monde. Je répondis d’une voix monocorde et fatiguée aux contrôleurs. Je ne regardais le paysage, car tout ne devenait qu’une pâle copie d’une copie. Plus nous avancions dans l’Uros, plus les habitations devenaient sobres et délabrées, et plus les rues devenaient désertes.
Nous terminâmes notre route face à un grand portail métallique, protégé par deux hommes armés de fusils de précision et d’armes de poings, juchés sur l’enceinte barbelée. Un individu de notre réseau ouvrit l’accès juste le temps que la voiture franchisse l’enceinte et je me garais vers ce que Némésis appelait ‘le QG’.
Je la suivis à l’intérieur, juste après qu’elle ait lancé ses ordres, vers nos quartiers communs où logeait également son favori. J’avais l’impression de ne plus contrôler les évènements, mais Némésis s’assit et me dit :
- Je sais ce que tu penses, tu as la sensation de ne plus rien maitriser, de perdre pieds, de ne plus savoir qui tu es, mais saches que c’est un des plus grands moments de ta vie, nous venons de faire un pas de géant dans notre montée en puissance. Hier nous étions un réseau trafiquant de drogues, désormais nous sommes bien plus. Alors ne t’évades pas de ce moment et laisses toi aller. Arrêtes de trop réfléchir, c’est ce qui fait les imbéciles. Laisses toi porter par la vague.
Et je lui répondis que son empathie me donnait l’impression qu’elle était la moitié de moi-même et qu’elle était la meilleure personne que j’avais pu rencontrer.
Puis je sortis et m’installa sur l’enceinte d’où j’observais quelques petits curieux. Manifestement, notre installation n’était pas passée inaperçue et instinctivement, j’ordonnais qu’on tire des coups de semonce en leur direction afin de faire signaler que c’était désormais une propriété privée où je régnais en maitre. »

Ce qu’elle ne savait pas, c’était qu’elle ne servait que de marionnette à son subconscient, qui était le vrai marionnettiste, voyant bien plus grand et bien plus loin qu’Hanna. Le plan RED pouvait commencer.



+ Paperasse administrative


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    PARRAINAGE - Ça devrait aller, si j'ai des questions, je les poserai dans la section appropriée.

    AVEZ VOUS ETE PRIS EN CHARGE – Non, je n'ai pas fais de demande de parrainage.
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MessageSujet: Re: Hanna Ritter   Hanna Ritter EmptyDim 21 Nov - 16:29

J'ai imaginé un bout de jambe voler dans l'air… Si une voiture suivait, elle a du être contente de se prendre ça sur le pare-brise *sort*. Je trouve que ça fait très film noir comme ambiance et les dealeurs de Raimyo ont du souci à se faire avec cette concurrence. Ça va sûrement jouer sur les prix et sur la qualité de la marchandise. Je me demande aussi en quoi consiste exactement le RED et jusqu'où vont aller les actions.

VALIDÉ

Mademoiselle Ritter, j'ai hâte de vous voir en action :) !
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MessageSujet: Re: Hanna Ritter   Hanna Ritter EmptyDim 21 Nov - 17:13

Des voitures la suivaient. En fait, en version vue de l'extérieur, durant une course de Nova Drifting, elle s'est prise un coup à l'arrière gauche de la voiture qui l'a fait foncer dans un building, ce qui a défoncé tout l'avant gauche de la voiture, emportant sa jambe au passage. Sa voiture a fini complètement cabossée sur la route.
Concernant la drogue, où est-ce que je peux apporter des précisions sur ce que c'est, comment ça marche et les effets que ça produit ? Et au passage, quels sont grossièrement les prix pratiqués par les trafiquants de drogues dans l'Uros ? Je me baserai sur ça pour faire un prix cohérent.
Pour ce qui est du projet RED, je vais le développer en jeu, mais grosso modo ça aura pour but de bousculer les choses, un peu comme une enzyme qui accélère une réaction chimique, d'étendre la zone anarchique et plus si affinités.

En tout cas, merci beaucoup! :)
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MessageSujet: Re: Hanna Ritter   Hanna Ritter EmptyLun 22 Nov - 9:44

C'est sympathique xD *imagine l'état du bout de jambe...*.

-> Alors pour la drogue, tu peux poster dans la base de données -je me demande si on devrait pas la mettre en forum indépendant plutôt qu'en sous-forum x_x-. Il n'y a pas eu d'échelle de prix fixés par contre mais je dirais qur les prix varient en fonction la ville. Un dealeur traînant à l'Astrid vendra plus cher ses produits qu'un allant au Rêves ou dans le Downtown (ça peut aller de 50koruna à 200k).

Ça promet tout ça :) !
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